Un intrus dans la bouche

fellation-bouche-entrouverte

Anastasia et Vera sont forcées de se donner à deux hommes. Elles n’ont guère le choix, il leur est impossible de couper au chantage. Anastasia, grande sœur de Vera, se voit contrainte d’apprendre à sa petite sœur à offrir des plaisirs de bouche à un garçon qu’elle n’avait encore jamais vu une heure plus tôt…

– C’est super Vera. Regarde, il adore. Maintenant fais pareil en donnant de la langue, toujours sur le gland. Vas-y, comme si tu chatouillais. Lèvres qui glissent en englobant, et à l’intérieur la langue qui s’agite.

Je ne pouvais voir si elle le faisait vraiment, bien entendu, j’en eus la preuve en voyant la réaction de son partenaire, qui en poussa une sorte de longue plainte. Vera, sous mes encouragements, prenait du galon. Je pris sa main qui tenait le sexe, elle crut que c’était pour le lui reprendre et commença à s’éloigner, mais je la remis au même endroit : je devais lui montrer comment on caressait. Ma main sur la sienne lui fit faire le mouvement de la masturbation. Je chuchotai au creux de son oreille.

– Tu peux le faire juste sur un petit espace ou juste au bout, l’essentiel c’est que tu le fasses doucement et sans trop serrer. Arrête pas avec la bouche, continue. Voilà, comme ça… C’est en faisant les deux en même temps que le garçon aime. Tu respires calmement par le nez, ne te stresse pas.

Et effectivement, la plainte du garçon le lui montrait bien. Je pris mon tour, et fis une variante du mouvement précédent, en mettant mon pouce et mon index en forme d’anneau, à la base du gland, décalottant et recalottant le prépuce en permanence. Ainsi, mes lèvres passaient du début à la fin du gland au fur et à mesure que mes doigts le décalottaient. Puis se retiraient au fur et à mesure que je recalottais. Et ainsi de suite. Je tendis la verge à ma petite sœur, qui exécuta le même geste. Elle avait bien observé attentivement et parvint à le refaire.

Là encore, Nicolas faillit faire un malaise rien qu’en la voyant. Je sentais toute la honte de ma sœur qui se savait observée, et par le petit et par le grand. Donner un plaisir inouï à ce garçon dont elle ne savait rien et qui ne le méritait pas, à un âge où le mâle fantasme sur toutes ces cochonneries la nuit, seul, en sachant bien qu’il ne pourrait pas de sitôt les faire en vrai… Le petit salopard prenait un pied qui dépassait l’entendement, et je pense qu’il était en état second. Le fait est que Vera y arrivait bien, et que ses lèvres parvenaient parfaitement à épouser la forme du gland, s’ouvrant et se fermant en parfaite synchronisation avec les doigts en anneau.

Ce jeu avilissant mais obligatoire (TOUT en cet après-midi nous était obligatoire) perdura, le pénis passant sans interruption d’une bouche à une autre, et je dus enseigner à Vera toute l’étendue de mes connaissances pour faire tourner la tête d’un partenaire.
Donner des coups de langue sur le gland…
Tirer largement la langue pour la passer lentement de la base de la verge jusqu’au bout…
Déposer des baisers sur la verge et le gland…
Jouer en même temps des lèvres et de la langue…
Faire de profonds mouvements de va-et-vient…
Masturber le bout du pénis contre les lèvres…
Gober et sucer un testicule, puis l’autre.
Masturber le sexe juste devant le visage en entrouvrant les lèvres, langue légèrement sortie…
Passer le membre contre le visage…
Faire aller et venir le pénis dans la bouche de façon à ce qu’il déforme à chaque fois la joue, afin de donner un effet visuel excitant…
Faire le tour du gland avec la langue…
Exécuter de petits suçons sur toute l’étendue du sexe…
Lécher et embrasser les testicules…

——————————–

Pour en lire beaucoup, beaucoup plus…
Deux soeurs en péril sur  Google Play / Kobo Books

deux soeurs en péril


Recevez une histoire érotique gratuite

Laisser un commentaire