Sortie de Dialogues Interdits

Cela faisait un bon moment que je le promettais, le voici enfin : « Dialogues Interdits », la première saison dès à présent en eBooks !

Sur  Google Play / Kobobooks

Ainsi qu’en eBook ET en livre broché sur Amazon, tout comme mes autres ouvrages.

Mots crus, mots cruels, mots doux, mots chocs, mots tendres… Au moment des confidences intimes, on se dit tout sans le moindre tabou. Quitte à faire rire, heurter, interpeller ou faire réfléchir. Quitte à être salace et provoquant, voire même hors norme et borderline.

De petites histoires complètes entre deux copines, deux copains, un couple… Des récits sulfureux et singuliers où fiction réalité se dépassent l’un l’autre. Pour la première fois en littérature érotique, un roman uniquement constitué de dialogues. Aucune narration, uniquement des paroles.

Entrez dans un monde qui donnera des allures bien sages à vos discussions les plus osées. Découvrez des fantasmes et aventures inavouables qui vous seront livrés avec une musique de mots ensorceleurs.

Le livre est découpé en 32 épisodes, et est agrémenté de 27 interludes. Si vous voulez tout savoir, cela fait même en tout 33.500 mots à dévorer 🙂 Ah, je ne me suis pas moqué de vous !

La saison 2 est déjà presque prête, et je pense d’emblée qu’il y aura au minimum 4 ou 5 livres de Dialogues Interdits. Mais… nous verrons cela un peu plus tard. En attendant, je compte sur vous pour vous fendre d’un petit achat ainsi que d’une note et d’un commentaire ?

Un extrait ci-dessous en guise d’avant-goût…

— Et c’est pile à ce moment-là qu’elle est entrée ta mère ?
— Presque. Une chance que ma chambre soit au premier et que les marches de notre escalier grincent. Du moins avec elle et sa centaine de kilos.
— N’empêche qu’elle a la pêche et qu’elle marche vite.
— Ah ça, on n’a eu que quelques secondes devant nous ! À peine !
— Et qu’est-ce qu’elle t’a dit.
— Elle m’a demandé si j’avais fait un cauchemar, je lui ai dit que oui. Elle s’est aussi demandée pourquoi je dormais toute nue, moi qui ne l’avais jamais fait, et aussi pourquoi la fenêtre était entrouverte et ma nuisette à terre.
— Aïe ! Ça se transformait en interrogatoire. Il a eu le temps de se barrer par la fenêtre ?
— Tu rigoles, il se serait tué. C’est surtout qu’une fois entré par la fenêtre, on était si pressés qu’on n’a pas pris le temps de la refermer. Puis les bruits de la route c’était pas mal pour couvrir les autres sons.
— Sauf que ça n’a pas suffi puisqu’elle t’a entendu gémir, et qu’elle est montée. Il était sous le lit ?
— Dans le placard.
— Dans les Vaudevilles l’amant est toujours soit sous le lit, soit dans le placard.
— Sous le lit, c’était trop évident. D’ailleurs…
— Ne me dit pas qu’elle a regardé.
— En fait, il est arrivé qu’un chat sauvage s’introduise dans la maison, quand on avait laissé ouvert. Ça lui a servi de prétexte.
— Pas si bête que ça la maman.
— Pas intelligente au point d’avoir vérifié ailleurs.
— Tu l’as dit : il lui fallait un prétexte. Elle n’allait pas prétendre qu’un chat avait ouvert la porte du placard pour s’y cacher. J’y pense, il n’y a qu’un seul placard dans ta chambre et il est hyper petit. Quant à Michael, il est super grand.
— Et de partout. Il a eu un mal fou à caler sa bite. Pour un peu, elle lui aurait échappé des mains et ça aurait ouvert la porte. Ne ris pas ! Ça a beau avoir l’air drôle, si c’était arrivé, alors là, grosse cata en perspective.
— Vous aviez pris des risques ?
— Heu… effectivement, en plus de ça on s’était pas protégés, et sa verge dégoulinait de ma mouille. Ça a fait des tâches dans le placard et dans les draps, j’aurais dû être plus prévoyante. De son départ au petit matin j’ai passé deux heures à nettoyer. Je pensais que ça ne partirait jamais !
— Ça n’en valait pas la peine ?
— Je me demande.
— Pour ma part, ça fait bien longtemps que j’ai habitué ma mère à garder parfois la fenêtre ouverte et à dormir toute nue, surtout les nuits où je reste seule… quitte à m’enrhumer. J’y ai pensé très longtemps à l’avance, dès ma préadolescence. Je me suis dis : « bon je n’ai pas encore l’âge de baiser, mais je baiserai un jour. Et ce jour-là, j’aimerais bien qu’un petit copain vienne me rejoindre certaines nuits. Alors il faut prévoir le coup ». À quatorze ans, mes parents étaient déjà plus du tout surpris que je dorme nue. Et dès mes quinze ans je les ai habitués à m’entendre crier, de temps en temps, en disant après que j’avais fait un cauchemar. Ça a complètement brouillé les pistes, il n’y a plus jamais moyen qu’ils sachent quand c’est du bluff et quand ça ne l’est pas. Quand j’ai débuté ma vie sexuelle à seize ans, tout était prêt. J’ai accueilli des tas de petits copains sans jamais me faire griller.

Pour en savoir beaucoup plus… Dialogues Interdits est sur Google Play / Kobobooks

Laisser un commentaire