Sortie de « Instants Coupables », quatrième partie de « En attendant d’être grande »

La quatrième partie est en ligne !

Désirs, plaisirs, craintes, doutes, joies et déceptions… En cet été, Chloé vit un feu d’artifices d’émotions fortes. En ce lieu où tout semble permis, rien ne se déroule jamais vraiment comme prévu. Il faut dire que tout s’y prête : maman est loin, tante Marthe est plus laxiste que jamais, sa meilleure copine est avec elle, et cette communauté autogérée dans laquelle tout ce petit monde passe l’été est réellement incroyable.

Qui sait même, si elle ne serait pas amoureuse ? Mais à cet âge, tout change si vite. Jour après jour, Chloé tente de réaliser l’impossible : devenir une jeune fille tout en restant une enfant. En attendant, le beau Tom l’ignore… Quant à Charlie, lui est accro mais elle non. Ah, que la vie est mal faite. À moins que…

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Une réflexion sur “Sortie de « Instants Coupables », quatrième partie de « En attendant d’être grande »

  1. j’ai lu le tome 4 instant coupable … ce qui ce passe dans la scène avec clarisse et charlie est magnifique !

    développement des sentiments d’amour avec clarisse ma surprit j’été concentre sur d’autre élément de l’histoire mais c’était magnifique. je voyait la scène dans ma tête quand chloé commençait a lui faire des bisous a l’embrasser. pendant un instant j’était à la place de charlie je ne ressentait qu’un immense bonheur lire cette scène. la beauté de cette scène c’est comme un levée de soleil !!!!!

    Magnifique !!!!!!!!!!!!!!! je cite le passage :
    attention spoil

    Je me rallongeai de tout mon long, soufflant d’apaisement. Je venais d’avoir eu la frousse de ma vie. Mes deux tourtereaux ne s’étaient aperçus de rien. Une main se posa sur la mienne et la serra très fort : celle de ma chère copine. Ses yeux plongèrent dans les miens, et j’éprouvai une immense tendresse envers elle. Et comme cette nuit il était dit que tout sentiment devrait se traduire par des gestes, je mourais d’envie de lui montrer tout mon amour. Ma tête plongea, mes lèvres se posèrent sur le cou de Clarisse et se mirent à l’embrasser. Clarisse m’enlaça, me serra contre elle. Mes baisers furent doux et légers pour certains, vifs et fougueux pour d’autres. Et ma langue donna de petits coups tel un chaton envers sa maîtresse. Je ne peux en jurer, je crois que Charlie me regardais faire et accordait ses caresses à mes baisers. Ma bouche descendit ensuite sur les épaules, les tétons, le ventre, tandis que les mains de ma copine caressait mes cheveux, puis en certains moments m’empoignait la tignasse à m’en faire presque mal, qu’importe c’était si bon. Le tableau n’aurait pas été parfait sans les baisers que j’ai ensuite déposé sur son visage. Front, joues, mentons, puis nos lèvres finirent par se toucher. Elles firent connaissance, d’abord un peu timides, puis de plus en plus gourmandes. On finit par s’embrasser à pleine bouche, sa langue en moi, ma langue en elle, les deux organes se chatouillant, se titillant, s’enroulant l’un sur l’autre. Notre façon à nous de se dire « je t’aime », une façon pourtant universelle. Que n’avions-nous jamais eu idée de le faire plus tôt, après tant d’années ? Peut-être avions-nous eu besoin d’un Charlie pour cela. Ce garçon, on l’aimait, et nous allions chacune l’aimer tout particulièrement cette nuit. À travers lui, Clarisse et moi allions également nous aimer l’une l’autre.Pour quelques instants ou pour une éternité (le temps s’étant arrêté, cela revenait au même), Charlie n’exista plus. Redoutant que cela ne s’arrête, craintives du moment où nos lèvres se sépareraient, ce qui peut-être ferait apparaître une gêne, Clarisse et moi ne nous arrêtions plus, nous dévorant tendrement l’une l’autre, rattrapant près d’une décennie de complicité platonique. Lorsque mon visage s’écarta enfin du sien, on s’aperçut que le garçon s’était allongé près de nous et nous observait, d’un œil je dirais presque amusé. Nos yeux se baissèrent, les deux belles n’osant se regarder, puis le même débordement d’affection surgit en moi, cette fois en direction de Charlie. Une nouvelle fois, il me fallait retranscrire cela en un délicieux corps-à-corps. Ce besoin de traduire physiquement ses émotions était vital, comme violent. Je pense que les cogneurs ont le même type de pulsions… eux,

    PS qu’elle age a Chloé et clarisse au moment de cette scène ?

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