Esclave sexuelle

Vera, jolie fille de l’est, n’a pas le choix : obéir à deux policiers ou repartir chez elle…

Pour chaque posture qui suivit, j’accordai la position qu’il me faisait prendre, positions qu’il choisissait afin que mes fesses soient les plus écartées possible, et que mon trou soit aussi ouvert qu’il pouvait l’être. Le vieux était comme halluciné par la scène, regardant en enchaînant les murmures cochons, me traitant en boucle de salope et de petite pute. Je m’en foutais, il pouvait bien dire ce qu’il voulait.

Tout ce que je souhaitais, c’était sauver ma sœur, éviter notre expulsion et surtout pour ce moment précis, faire en sorte que la capote résiste et ne se déchire pas. Tant pis s’il fallait pour cela accepter la position avec zèle afin que l’anus soit plus ouvert que de coutume.

Cette pratique m’était assez méconnue… Et ce n’était que mes aptitudes de gymnastes qui me permettaient de mettre à ce point mon corps en phase avec ce que l’on me faisait exécuter. Je n’avais pratiqué cela que deux fois jusqu’alors, une pour essayer, l’autre pour faire plaisir à un amant charmant qui en avait vraiment très envie.

Les deux fois, mon plaisir avait été assez timide tandis que le garçon prenait immanquablement son pied. Dans la situation présente, l’homme était dans ce cas de figure, et j’avais l’impression en chaque instant qu’un obus me traversait les intestins.

Le sexe était le même, pourtant j’avais l’impression qu’il était plus grand et gros en cet endroit.

Encore et toujours « joueur » jusqu’au bout, le jeune se mit à alterner coït anal et coït vaginal. Il parvenait à entrer, sortir entièrement, entrer par un autre endroit tout aussi vite puis ressortir, et reprendre. Sa vigueur et sa précision étaient telles que je ne parvenais plus à accompagner quoi que ce soit. J’eus peur qu’il le prenne mal, mais à présent il était dans son délire et ne prêtait plus attention à ma personne, accélérant en poussant des sortes de grognements, allant plus loin, rageur tel un soldat cherchant à vaincre son adversaire. L’adversaire avait déjà déposé les armes…


Pour lire la suite… « Deux sœurs en péril » sur Google Play / Kobobooks

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