Apprentissage sous contrainte

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Deux sœurs, Anastasia et Vera, sont victimes d’un horrible chantage. Anastasia la grande sœur, tente de tout prendre sur elle. Mais le policier qui leur a tendu un piège souhaite que son petit frère ait Vera pour « cadeau »…

Il n’y avait donc plus moyen d’y couper : dorénavant, il allait falloir alterner sans arrêt, et je me doutais que le grand frère ne laisserait rien passer. Chacune de mes tentatives pour échapper à son attention avait échoué… Reprendre du début m’était très éprouvant, car à présent, ma petite sœur avait les yeux rivés sur moi, et n’avait même pas l’autorisation de détourner la tête. De plus, elle allait devoir tout reproduire.

L’attribut de Nicolas, qui en était retourné à une semi-érection, revint en ma bouche. Il me fallait mettre en place la première caresse buccale, sorte de première leçon sous la contrainte. Je suçai son gland, exerçant la même pression de succion que l’on donne sur une sucette, puis me retirai, précisant ce détail à Vera : « comme avec une sucette, avec une légère aspiration, un peu comme tout à l’heure avec le majeur ».

Le jeune flic, qui s’était levé un instant, me tendit le chouchou qu’il avait prit dans mon sac, le déposant dans ma main et revint s’asseoir. Il me l’avait bien entendu donné à l’intention de ma petite sœur, dont le rapport sexuel subi avait mis la chevelure en bataille. Son visage était en partie camouflé par des mèches de cheveux, et il était clair qu’elle devait avoir la figure entièrement dégagée. Pour des raisons pratiques d’une part. D’autre part, pour que l’aîné et surtout le petit frère aient une pleine vue sur le spectacle et puissent se rincer l’œil à loisir. Inutile de faire celle qui ne comprenait pas en me mettant le chouchou à moi-même : avec lui, il n’y avait aucun moyen de tricher. J’attachai donc les cheveux de Vera en arrière avec le chouchou. Elle en parut émue : je lui faisais cela depuis qu’elle était toute petite, c’était notre petite tradition à nous. La première fois que j’avais dû lui attacher les cheveux ainsi, elle ne devait pas avoir six ans. La dernière fois devait remonter à quelques jours. Et aujourd’hui, voilà que je le mettais pour… Pourrais-je seulement refaire ce geste familial un jour ?

Une fois le chouchou installé, plus une seule mèche ne venait cacher son si joli visage. Vera saisit que son tour était venu, je le lui confirmai en dirigeant la verge en sa direction. Je fis en sorte que sa main vienne remplacer la mienne. Elle entrevit la bouche, avança la tête, et le jeune phallus s’immisça entre ses lèvres. Vera la blanche neige, Vera la Cendrillon qui rêvait de prince charmant, de poésie et de romantisme, et qui à présent faisait pénétrer un pénis de prédateur dans sa bouche, d’un garçon dont elle connaissait tout juste le prénom. C’était le second viol qui débutait…

Je remarquai à ce moment précis que de telles lèvres, si douces, fines et délicatement pulpeuses, étaient probablement une merveille pour un garçon. Surtout venant d’une fille de cet âge. Du reste, la différence se fit immédiatement sentir chez Nicolas. Il tituba légèrement et sembla au bord de perdre équilibre. L’espace d’un instant, je crus qu’il allait tomber à la renverse, voire tourner de l’œil. Peut-être était-ce la douceur de la bouche, peut-être simplement parce que c’était elle, et elle seule qui s’était mise à lui faire cela. Les yeux du garçon étaient en effet plongés sur elle, et il paraissait à nouveau totalement hypnotisé par la scène. Oui, ma sœur lui plaisait au plus haut point. J’étais furieuse contre lui. Furieuse qu’il ait droit à tout cela. Alors que ces choses-là doivent s’obtenir par mérite. En faisant jouer son charme, son apparence, sa conversation. En étant dragueur, attentionné, plaisant. En courtisant peu à peu et gentiment, sans brusquer. Et voilà qu’il pouvait tout obtenir d’une fille époustouflante, et sans avoir rien fait de tout cela. Alors que ses copains se contentaient d’en divaguer en regardant des filles inaccessibles passer dans la rue, lui cette fille improbable que tant de garçons avaient observée avec envie, cette fille-là lui était toute dévouée. Nue, à genoux devant lui, son gland dans la bouche, et prête à faire et exécuter tout ce qu’un mâle rêverait de recevoir par plaisir buccal. Le pire est que nous n’en étions qu’au début, et Nicolas allait connaître toutes sortes de bonheurs intenses dans les minutes qui suivraient.

Ma sœur, encore timidement, maintint le mouvement.

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