Un cadeau de chair fraîche

chantage-viol

 Anastasia et Vera sont sous l’emprise d’un chantage dont elles ne peuvent se défaire. Un policier, les tenant sous son égide, a « offert » Vera à son petit frère. Ce dernier se tient debout, les deux sœurs ont reçu l’ordre d’être à genoux devant lui. Le policier est là et dirige l’ensemble…

– N’oubliez pas que ça doit être le plus bel anniversaire de sa vie. Alors je veux vous voir toutes les deux vous activant sur lui. En même temps, maintenant.

Comme à chaque fois, le ton était calme, ses mots lents, calculés. Cette voix était pétrifiante. On aurait dit un commandant de camp de concentration, de ce type de salauds qui ne font jamais de grands discours en hurlant, préférant susurrer leurs injonctions dans l’ombre. J’avais redouté cela en craignant que le petit frère y songe, sans me douter que l’ordre viendrait d’ailleurs. Je savais que cela relevait d’un fantasme particulièrement courant chez la gent masculine, voire LE fantasme absolu pour beaucoup, que très peu d’hommes parvenaient à accomplir.

Nous n’eûmes même pas idée de protester ou de chercher à négocier : il fallait s’exécuter, voilà tout. Je décidai de rester sur le bout de la verge tandis que je dirigeai Vera sur les testicules : nos instruments de plaisir devaient se tenir le plus éloigné l’une de l’autre. Le garçon n’avait apparemment pas anticipé cet acte, car il se mit à respirer encore plus fortement qu’avant, tout en nous regardant faire. M’apprêtant à inverser les rôles avec Vera, je sentis une main se saisir de mes cheveux : c’était l’aîné, qui n’avait pas bougé de place.

Vera, désorientée mais consciente de son obligation de tout donner pour satisfaire son prédateur, remonta le long de la verge, supposant de toute évidence que ma bouche prendrait sa place sur les testicules. C’était sans compter sur la débauche de l’aîné, qui se mit à me diriger partout où elle allait. Nos deux bouches durent alors s’abaisser à lécher et embrasser la verge l’une en face de l’autre, de sa base à son bout. Plus d’une fois nos langues se touchèrent et nos lèvres s’effleurèrent par inadvertance, il était impossible de faire autrement. Sans le vouloir, nous échangeâmes à plusieurs reprises des sortes de vrais baisers.

Puis l’aîné exigea des coups de langue de notre part sur le gland, et nos langues ne cessèrent de se toucher encore et encore. Nicolas en était à se dandiner d’un pied sur l’autre et à tendre les bras pour rester en équilibre et ne pas s’affaler au sol : il était réellement au bord de l’évanouissement. Quant à nous, nous avions beau faire tout ce que nous pouvions pour éviter les contacts, immanquablement lèvres comme langes continuaient de se toucher, l’espace d’action étant trop petit.

Il faut dire que le garçon, excité mais sans doute fatigué physiquement, traversait une étape de semi érection, et ce tout jeune sexe était trop fin et petit pour recevoir deux bouches en même temps qui seraient restées indépendantes. Lorsque l’aîné revint s’asseoir dans son coin pour contempler la suite du spectacle, je sus qu’il était satisfait et que je pouvais mettre fin à ce cirque aux relents incestueux.

L’aîné exigea ensuite une prouesse dont je m’étais malheureusement doutée… Il voulait ce qu’on nomme une « gorge profonde ». À savoir que le gland, si pas la suite du pénis, se rende jusque dans la gorge. J’ai d’abord dit que ce n’était pas possible, ce qui donna une occasion pour l’aîné de chambrer son frère.

– Tu as vu la taille ? Quand il est au max à la rigueur admettons. Là, c’est pas un souci. Allez, au moins juste un peu. Je suis sûr que c’est possible… et que tu sais très bien comment on fait.

« Très bien », non. Ce n’est pas que je ne l’avais jamais fait, seulement, cela avait été aussi rare que la sodomie. Mon esprit se mit aussitôt en route pour trouver un moyen. Puis, je me rendis compte de ce fonctionnement : désormais lorsque l’on recevait une injonction, je n’étais même plus glacée. Je me contentais de l’intégrer et de le mettre en place. Je voyais bien une solution, que je n’osais pas proposer à ma petite sœur. Ce fut elle qui me le proposa :

– Tasia, s’te plaît Aide-moi.

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