Flic impudique

Il est jeune, il la veut. Elle ne veut pas, et pourtant ne peut rien refuser…

Il n’avait pas oublié sa promesse : je n’avais même pas vu qu’il avait enfilé un préservatif, mais je le sentais. C’en était à se demander par quel tour de passe-passe il y était parvenu. Au moins avait-il enfilé la taille adéquate, et ce type de préservatif était suffisamment lubrifié pour me visiter aisément. L’aidant du mieux que je le pouvais, je fis preuve de tout ce dont mes membres étaient capables en écartant davantage, mes parois ayant tout intérêt à l’accueillir le mieux possible. De ses mouvements, il réalisa que l’espace offert était assez large, et ne se priva pas de l’exploiter.

Le pénis devait être un peu plus grand et gros que celui de son collègue. Pour avoir connu de vraies grandes tailles, celle-ci était supportable. Ce qui m’obligea à en ressentir de nombreuses sensations fut sa dextérité. À chaque fois qu’il ressortait, je ne pouvais prévoir de quelle façon précise il allait revenir. Le jeune parvenait à frotter mon point G, appuyer plus d’un côté ou d’un autre, entrer une nouvelle fois en restant vers le haut du vagin, ou vers le bas… Moi qui avais pourtant l’habitude de relations sexuelles diverses et variées, j’en étais toute déboussolée.

En un rien de temps, il me fit changer de position sexuelle en poursuivant le même jeu.

Sa force me faisait glisser d’un côté, de l’autre, dans le sens qu’il désirait et sans la moindre difficulté : mon corps n’était pour lui par plus dur à soulever et à manipuler qu’une poupée Barbie. Fidèle à sa dépravation, il me faisait adopter toutes les positions abaissantes qui lui venaient à l’esprit, où j’étais rabaissée, en dessous de lui en posture de dominée, lui au-dessus en posture bestiale de dominant. Je dis « bestial »… les animaux eux-mêmes ne le sont pas autant.

Au cours de ces manipulations, il découvrit ma souplesse, largement acquise avec ces années de gymnastique que je pratiquais depuis toute petite. Comment aurais-je imaginé que ce qu’on m’enseignait depuis mes sept ans servirait un jour pour cela ? De ses mains, il plaçait mes jambes dans un sens, mes bras dans un autre, ma tête ici, mes pieds par là, et reprenait son manège de plus belle.


Pour lire la suite… « Deux sœurs en péril » sur Google Play / Kobobooks

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