Horrifiée, pétrifiée mais… excitée

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Les deux sœurs ne peuvent y échapper : elles doivent se soumettre. Pour le pire ou le meilleur ?

Le bassin de Vera devait être à moins d’une dizaine de centimètres du sexe de Nicolas, lequel, on le voyait bien, tenait à la pénétrer encore… toutefois, il n’osait pas en cet état. Crainte de s’abîmer, et je dirais en outre, crainte de l’abîmer elle. La taille de son membre, comme celle de ses testicules, avait suffisamment diminué pour que je tente sur lui un acte que les garçons adorent, exécutable sur très peu de partenaires. Je descendis sous le pubis masculin, saisit délicatement l’attirail et mis le tout dans ma bouche, à la fois pénis et testicules. Ce fut comme si le garçon avait été plongé dans le coma et venait d’en sortir par un électrochoc. Son sursaut fut tel qu’il en souleva sa partenaire.

J’exploitai ainsi le fait d’avoir affaire à un garçon loin d’avoir achevé sa croissance : il était bien plus rare de pouvoir faire cela sur un homme de plus de vingt ans. Lèvres fermées sur lui, ma langue s’agita en tout sens, autant que je le pouvais. Je continuai ce petit jeu jusqu’au moment où je fus forcée d’y mettre un terme, la taille devenant trop grande. La moitié du chemin été fait : son organisme se remettait à préparer de la semence, et il bandait suffisamment. À présent, c’était Vera qu’il fallait préparer. Nicolas n’était d’ailleurs qu’en semi-érection, ce qui était insuffisant face à une cavité féminine aussi sèche.

– Garde les yeux fermés et fais le vide…

Lui disant cela, mes deux mains s’approchèrent de son entrecuisse, et je glissai un doigt dans son vagin tandis qu’un autre se posait sur son clitoris. Je remarquai que si elle n’était pas encore suffisamment lubrifiée pour débuter le coït, elle n’était pas pour autant totalement sèche. Elle frémit, se doutant que je venais de m’en apercevoir : exécuter précédemment toutes ces caresses buccales, malgré l’horreur qu’elle en avait ressentie, avait produit en elle des réflexes organiques. Nul doute qu’après avoir dégluti, son intérieur était bien plus humide et chaud. C’était une bonne nouvelle : Vera avait donc la lubrification facile. Ce petit tressaillement passé, elle accueillit ma présence sans se figer. Elle se sentait tant en confiance à mes côtés que rien ne pouvait la choquer, d’autant qu’elle savait pertinemment que j’utilisais cela en dernier recours. Sans doute aussi était-elle reconnaissante que ce soit sa grande sœur qui le lui fasse plutôt que son prédateur.


Pour vous plonger totalement dans cet univers troublant dont vous venez de lire un extrait…

Deux sœurs en péril sur Google Play / Kobobooks

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