Non, pas de galipettes avec toi au lit

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Sandrine, jeune fille amoureuse, apprécie peu un copain de son conjoint. En effet, il ne cesse de vouloir développer avec elle des rapports ambigus… et même davantage.

Une seule fois, tout cela était allé plus loin qu’un simple regard. Il y a quelques mois, le fameux copain d’enfance était venu sonner chez Sandrine. Il s’était alcoolisé, par ruse devina-t-elle, pour avoir une forme d’excuse en cas d’échec, et surtout pour le cas où elle aurait tout révélé à son ami. Du style « j’étais bourré tu comprends, je savais plus ce que je faisais ». Ça, c’était tout lui. Il avait déballé son baratin sans tarder. Il se sentait très attiré par elle, sans blague, ne voulait pas nuire à cette relation qu’il trouvait belle et harmonieuse, ben voyons, mais était sûr qu’elle et lui pourraient passer ensemble de très bons moments.

Et quoi encore ? Ce n’était pas tout, selon lui elle aussi le désirait, inconsciemment, elle n’osait se l’avouer et en culpabilisait, ce qu’il comprenait. Marco lui promettait beaucoup de plaisir, ça allait être magique, entre elle et lui il sentait une sorte de magnétisme. Selon ses dires ça ne le trompait jamais, c’était une affinité tantrique, ils étaient sexuellement liés par le destin. L’étudiante avait hésité entre rire et le gifler, voire les deux. Elle avait surtout eu envie de claquer la porte immédiatement, il était tard et le contexte était gênant, elle était là devant lui en nuisette courte et fine, ayant à peine eu le temps d’enfiler une robe de chambre, il le sentait bien et en était tout excité. Sans plaisanter, le Marco se voyait déjà dans son lit.

Qu’avait-il bien pu lui passer par la tête pour qu’il ait une telle certitude… Finalement, elle était restée polie et l’avait éconduit gentiment, fermement toutefois pour qu’il n’y revienne plus, et parvint même à refermer la porte sans la claquer. Elle s’en était elle-même surprise.

Les fois suivantes où elle le vit, Marco n’était pas très à l’aise, craignant clairement qu’elle aille tout balancer. Elle lui fit comprendre de ne pas s’en faire. Cette amitié entre Amaury et lui, même si elle ne l’approuvait pas elle ne voulait pas la gâcher. Son mec y tenait beaucoup, et de façon plus pragmatique elle n’oubliait pas qu’en escalade, chacun était garant de la sécurité de l’autre. Sur ce point et ce point-là seulement, Marco était un homme fiable et droit. Elle aussi restait fort gênée lorsqu’elle se remémorait l’anecdote. Elle aurait pu se dire qu’au fond tout cela était flatteur, elle n’y parvint pas. Dans le regard de Marco brillait comme une lueur perverse, possessive. L’œil était bien plus intrusif que séducteur.


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