Infirmière sexy contre prédateur

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Pas de doute : cette jolie infirmière s’est bien livrée d’elle-même à Lucas, tueur sans coeur. Mais est-elle si folle et soumise qu’il le pense ?

Chaque nouvelle pénétration était une sorte d’attaque. Il allait et venait si fort que les peaux claquaient l’une contre l’autre, et chacune en rougissait. L’offensive fut ensuite dirigée vers son vagin, où il la pénétra dans toutes les positions qui lui venaient en tête, toutes plus rabaissantes et humiliantes les unes que les autres. Ses favorites étaient celles où il avait pleine emprise sur les jambes, pouvant ainsi les faire gigoter dans tous les sens, testant sans arrêt leur souplesse, entendant les os craquer tant les prouesses qu’il exigeait d’elle étaient dures à suivre.

De plus en plus mobile, Downest tenait à la surprendre encore et toujours. De l’anus, il remontait à la bouche, de la bouche il redescendait au vagin. Autant de pénétrations qui lui abîmaient le sexe, de plus en plus, et Downest aurait voulu le mettre en charpies lui aussi, n’oubliant pas que c’était la toute dernière fois qu’il s’en servait.

La jeune fille subissait tout, comme on affronte avec courage une tornade déchaînée. Peu à peu, Downest se rendait compte que son excitation s’amenuisait bien plus vite que de coutume. Pourtant, il avait là une superbe fille à disposition. Pourtant, il pouvait en faire tout ce qu’il désirait. Mais la malmener ainsi avait quelque chose de lassant. Ce type de scènes, il l’avait fait vivre bien des fois à bien des femmes. Il ne s’était jusqu’alors jamais ennuyé de ce côté répétitif.

Là, déjà il commençait à la pénétrer de façon plus banale, presque machinale, moins sauvage. La petite était intelligente, nul doute qu’elle s’en apercevait. Il ne voulait pas perdre la face. Oui mais seulement que faire. La frapper, la torturer ? Elle se laisserait tout autant faire, et ne ferait rien d’autre que de continuer à endurer avec courage. L’homme se sentait perdu.

La relevant, il la jeta sur le lit. Peut-être que l’attacher lui ferait peur ? Les lanières du lit-camisole semblaient là pour ça.

— Vous ne comprenez toujours pas ? La violence ne mène à rien. On croit qu’elle satisfait, mais elle rend toujours plus malheureux. Vous vous êtes imposé tout ce malheur toute votre vie. Pourquoi ?


Pour tout savoir de ce combat sexuel entre le bien et le mal…

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