Deux petites voyeuses excitées et cachées dans la grange

LA planque a été trouvée pour mater les adolescents s’adonnant aux joies du sexe…

Extrait de ma saga littéraire « En attendant d’être grande », ou le journal intime d’une aventurière de sa naissance à son âge adulte…

Cette fois, plus la peine de courir aux quatre coins de la communauté : le lieu de rendez-vous était redevenu unique. En plus, la première fille que l’on aperçut fut notre Estelle. Je compris où elle se rendait rien qu’à son pas… Ce je-ne-sais-quoi de léger, de plus guilleret que d’habitude.

Lorsqu’elle s’installa sur la paille, Clarisse et moi étions déjà confortablement installées. Sébastien la rejoignit quelques instants plus tard, garçon d’un an ou deux son aîné, qui vivait là presque à l’année. Elle l’accueillit par un petit rire de joie, ils se chuchotèrent quelques mots doux à l’oreille. Ce petit rien suffit à les exciter. Ils firent l’amour tout simplement, se câlinant longuement, se caressant les cheveux, s’embrassant.

Estelle était clairement dans sa saison des amourettes. On la revit plusieurs fois, et pas toujours avec le même. À travers le bois vermoulu, on percevait des morceaux de la scène, on devinait, on recollait les pièces du puzzle. C’était le charme.

Estelle nous montra, à notre grand surprise, qu’une fille pouvait aussi prendre magnifiquement les affaires en main en montant sur le garçon. Je comprenais enfin les dires de papa maugréant qu’elle « chevauchait » des mecs à longueur de temps. J’avais pris ça pour une métaphore.

Pour notre bonheur, Estelle fut la fille qui revint le plus souvent. Elle dut avoir trois partenaires différents, quatre peut-être.

Elle fit partie des rares filles à faire des choses avec la bouche, ce qui en faisait une amante fort recherchée, je suppose.

Oui, malgré les mœurs libérées de l’époque, cette pratique n’était pas du tout une institution comme aujourd’hui. Devant tout cela au final, (tu t’en seras douté) Clarisse et moi étions aussi humides l’une que l’autre. Dans les moments intenses, on respirait presque aussi fort qu’eux et Clarisse me prenait la main, allant jusqu’à y planter ses ongles et à me faire mal.

On finit par ôter nos fringues et nous caresser au rythme du couple, nous imaginant dans le corps de la belle. Après tout, nous n’en étions plus à ça près… Je dirais même qu’on aurait dû commencer par là. Quant à Estelle, ce que nous préférions d’elle était ce visage angélique pendant qu’on la pénétrait. Toujours égale à elle-même en toute situation, même la fois où un garçon voulut l’attraper à quatre pattes. Ce jour-là, je me demandai bien comment une fille en pareille position pouvait garder toute sa grâce.

Avec elle les actes les plus « hards » devenaient poétiques.

Même le drap était trop terre à terre pour elle. Généralement, elle l’envoyait valser et préférait se rouler dans la paille avec son prince chanceux. C’était drôle, ils passaient ensuite autant de temps à s’enlever les brins de paille du corps pour ne rien laisser paraître.

Si Estelle n’avait pas été là, j’aurais été convaincue des années durant, que le sexe cru était sale et avilissant… avec en tête l’image de Tom mettant Stéphanie à genoux devant lui, celle de Fatou se faisant démonter dans tous les sens. Car, bien que cette dernière avait un petit côté Estelle, elle s’était tout de même donnée un sacré rôle de petite chienne. Ouf ! Une partie de notre innocence était retrouvée.


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