Enseignement sexuel forcé

Un passage sombre de mon roman « Chair fraîche sous contrôle », dans lequel deux sœurs sont contraintes de se soumettre à des maîtres-chanteurs.

 

— Vois ton frère. Il est crevé, il pourra plus rien faire.

— A vous de raviver sa flamme. Ceci dit t’as raison : le guerrier a bien droit à une pause, et cette position est parfaite pour lui. Aussi, lui, il va rester là sans bouger, allongé sur le dos : il aura rien à faire. C’est vous qui allez faire le reste. On peut plus trop lui demander davantage ! Je sais qu’il rêve d’être chevauché par une beauté comme ta petite sœur. Dès qu’on a fini ça, vous partez. Dès qu’on a fini… dans tous les sens du terme, je pense que tu m’as compris.

 

Je vis le visage de ma sœur s’éclairer à cette dernière parole « dès qu’on a fini ça, vous partez ». Elle se leva, vint s’installer près de Nicolas. D’un regard, elle m’invita à la rejoindre.

Oui, il fallait nous soumettre à cette dernière épreuve, et Vera était prête.

De nous deux, c’était vraiment elle la plus forte.

 

— Tasia. Je suis pas sûre d’avoir tout compris ce qu’il a dit. Mais toi si. Faut pas qu’on ait fait tout ça pour rien. On est si près du but ! Faut que tu trouves une solution. Je suis prête. Et je suis prête à tout pour que ça marche, je vais t’écouter. Je suis sûre que tu sais comment faire.

 

Elle n’y arriverait pas sans mon aide. Plus le choix : je devais la conduire au bout de la soumission. Et tout d’abord, reprendre là où l’on s’était arrêtées, lors de la première tentative de coït vaginal. M’agenouillant derrière elle, mes mains rassurantes se posèrent sur ses épaules.

 

— D’abord, relaxe-toi. Le dos, tout le corps. Ne reste pas raide comme ça. Tu te souviens des cours de danse ? La prof te disait pareil : imagine que c’est pour un cours. Ensuite, ferme les yeux et respire calmement.

 

Elle suivit mes indications. Dans le même temps, je lui défis les cheveux. Sa belle chevelure était un atout, il ne fallait pas s’en priver : nous avions besoin du plus « d’armes » possible pour remporter ce défi. Plus j’en donnerais au garçon, plus de chances il y aurait pour qu’il s’enflamme.

La taille du membre, comme celle des testicules, avait suffisamment diminué

pour un acte que les garçons adorent, exécutable sur peu de partenaires. Je descendis sous le pubis masculin, saisis l’attirail avec délicatesse et mis le tout dans ma bouche, à la fois pénis et testicules. Ce fut comme si le garçon avait été plongé dans le coma et venait d’en sortir par un électrochoc.

Je poursuivis, tenant la posture en ajoutant de grands coups de langue, jusqu’à ce qu’il bande… ce qui ne fut pas bien long à venir. Bien vite, je ne pus tout contenir encore tant cela grandissait. Nicolas renaissait de ses cendres. La moitié du chemin été fait : son organisme se remettait à préparer de la semence. Dès lors, c’était Vera qu’il fallait préparer.

 

— Garde les yeux fermés et fais le vide…

 

Lui disant cela, mes deux mains s’approchèrent de son entrecuisse.

Je glissai un doigt en son vagin tandis qu’un autre se posait sur son clitoris. Si Vera n’était plus tout à fait assez lubrifiée, elle était toutefois loin d’être sèche. Elle frémit, se doutant que je venais de m’en apercevoir : exécuter les caresses buccales, malgré la honte ressentie, avait produit en elle un certain effet.

C’était une bonne nouvelle : Vera avait la lubrification facile. Ce petit tressaillement passé, elle accueillit ma présence sans se figer. J’aimais encore mieux la préparer moi-même plutôt que ce soit Nicolas : un contact en moins avec le garçon était bon à prendre. Je devais m’efforcer de considérer cela comme une aide et non un inceste. Vera l’accepta sans sourciller : une intrusion de ma part lui était bien plus supportable que de la sienne.

 

(…)

 

Ma petite sœur étant assez clitoridienne, mon doigt réfugié entre ses parois était surtout là pour déterminer le moment où elle serait prête, sorte de thermomètre sexuel. Je commençai ainsi à passer la longueur de mon majeur sur le bouton de rose, exécutant les cajoleries que j’aimais me faire à moi-même, où que certains garçons particulièrement doués me faisaient parfois.

Je changeai de doigt, en posai deux, offrant de petits ronds et de longues caresses,

effleurant à peine, appuyant un peu plus. La manœuvre fonctionna par-delà mes espérances, et bientôt Vera mouillait de nouveau abondamment. C’était le moment… une fois initiée, la lubrification continuerait à s’alimenter d’elle-même. Je pris délicatement Vera par le bras, l’installa sur le garçon.

Elle écarta, posa ses genoux de part et d’autre de lui, vulve non loin du pénis. Elle, buste à la verticale en position de chevaucher, lui à l’horizontal, n’ayant pas bougé, attendant, tranquille, que tout se fasse. Une main se posa sur le ventre de ma sœur, une autre sur son dos : je la déplaçai, puis la soulevai afin que la vulve se trouve juste au-dessus du pénis, bien dur, dressé en l’air, immobile. Ce dernier fut pris entre mes doigts : le guidant, je posai le gland à la place opportune, entre les lèvres vaginales.

Mes mains se posèrent ensuite sur les hanches de Vera… je les poussai tendrement, lentement, très lentement vers le bas,

afin que le pénis de Nicolas se glisse doucement dans le vagin de ma petite sœur.

C’est tout naturellement que le phénomène opéra, et je gardai un œil très près de la scène afin d’être certaine que cette toute première pénétration se déroule au mieux : le gland s’engouffra, arriva au bout, disparut, tout était si humide chez l’un comme l’autre, tout passait si facilement que je la fis descendre un peu plus profond.

Pas trop, juste un peu, et on remonta. Quoi qu’il arrive désormais, Vera n’était plus vierge. Mieux valait rester prudente et ne rien brusquer. Sans rien retirer, je posai ensuite de nouveau l’arrière-train de Vera sur les cuisses du garçon. La situation était la même que lorsque je l’avais installée… sauf que cette fois, une verge était en sa fente.

Elle baissa les yeux et la regarda. Je préférais ne pas marquer trop de pauses… cela pourrait inciter le frère à donner des coups de reins. Aussi, mes mains la poussèrent un peu vers l’avant, par petites touches, comme au préalable.

Le bout du gland s’immisça de nouveau, puis sur le même rythme, je la fis repartir, revenir, repartir…

Le second viol avait cette fois démarré : ce n’était plus une simple intrusion mais un vrai coït. Oui, ça y est, Vera était bel et bien dépucelée. Je me le répétais… Ma petite sœur n’était plus vierge, ne le serait plus jamais. Et ce sale petit boutonneux serait sa première fois de toute éternité.

 

De la totalité du corps masculin, son érection figurait être le seul et unique membre ayant bougé depuis qu’il était sur le dos. Mains, bras, jambes… on n’aurait pu faire plus statique. Ce qui restait vivace chez lui était le regard. Pas un seul instant de la scène lui échappait, ses yeux se projetaient sur Vera en changeant sans cesse de lieu, comme s’il voulait la déshabiller encore plus qu’elle ne l’était. Il regardait la pénétration lui aussi. L’exercice rendait son membre encore plus épais, long et dur, et il semblait en tirer grande fierté.


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