Depuis peu à Paris, Anastasia apprend à sa soeur adolescente à prendre soin d’elle, attirer les regards et se faire belle…
Extrait de « Chair fraîche sous contrôle », une histoire à la fois extrêmement tendre et terriblement obscure…
Chaque jour, une douche au matin et une autre le soir. Shampoing et après-shampoing systématique, mains impeccables. Peigne avant toute sortie, et bien sûr un œil attentif sur les vêtements choisis. Nous contrôlions aussi la nourriture et prenions plaisir à faire du sport, gym pour moi, club de danse pour elle. Lorsque les parents étaient absents et qu’il y avait du soleil,
notre pêché mignon était de nous installer sous le velux sans vis-à-vis, sans aucun vêtements pour éviter les traces de bronzage.
Elle bronzait plus vite que sa grande sœur, et je gardais cette blancheur propre aux pays de l’Est tandis qu’elle avait la peau bien plus mat. Le bronzage intégral nous allait à merveille, même si j’étais la seule à en faire profiter les garçons. Vera, elle, ne se mettait jamais nue devant quelqu’un d’autre que sa grande sœur : même notre propre mère ne l’avait plus vu en tenue d’Ève depuis bien longtemps. Une telle pudibonderie m’avait souvent étonnée.
Je me souviens qu’une seule fois dans notre vie les parents voulurent tester, par curiosité, une plage naturiste sur notre lieu de vacances. Vera nous avait accompagnés en traînant les pieds, elle était restée en short et t-shirt tout le long, yeux plongés dans le sable.
Si elle n’a pas toujours été ainsi, elle a changé très tôt. Je me souviens du jour où elle cessa toute nudité devant papa et maman. Jusqu’à ses sept ans, cela ne lui posait aucun souci. Ma petite sœur était alors, dans sa tête, plus ou moins asexuée.
À la maison, lorsqu’elle était nue, c’est tout juste si elle s’en rendait compte.
Et puis un soir, elle me dit qu’elle aimait bien se retourner dans son lit et se frotter les cuisses l’une contre l’autre, depuis peu.
N’y allant pas par quatre chemins, je lui expliquai que c’était lié à son sexe, et qu’elle pouvait en obtenir du plaisir en se caressant. Dès le lendemain, Vera avait pris conscience qu’elle était une fille, que son intérieur relevait des mystères et des secrets, et plus jamais elle ne fut dévêtue devant quelqu’un d’autre que ma personne.
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