Fin observateur – Les adorateurs de filles nues

Première partie d’un épisode sulfureux de mes Dialogues Interdits. Lorsque deux frangins séjournant à l’étranger peuvent laisser libre court à leur voyeurisme…

 

Fin observateur

— Mon frangin et moi, on passait un séjour en Hollande de plus d’un mois, dans la famille de Dan, mon correspondant depuis deux ans. On avait dans les onze… En journée, on poursuivait les cours avec lui à son collège. Pour nous c’était les vacances, pour eux non.

— Pas évident ?

— Niveau langue ça allait vite ! Malgré tout on s’est faits des copains-copines et tout le monde a été cool. Sauf qu’il est arrivé quelque chose de… très, très spécial.

— Avec les filles ?

— Oui mais à distance. L’établissement comptait un gymnase. En France, après le sport on poursuit la journée en sueur.

Ici impensable. Douches collectives pour tout le monde !

— Tout le monde… ensemble !?

— Filles et garçons séparés. Et encore, on a entendu dire qu’en d’autres endroits, en primaire au moins, c’était bel et bien tout le monde ensemble.

— Ça a dû vous faire sacrément travailler du chapeau.

— Le contraste était drôle ! Dan s’en foutait, ses copains aussi… et Lionel et moi en devenions dingues !

— Rien qu’à le savoir ?

— On voulait pas que ça reste une simple information.

— Me dis pas que vous avez cherché une solution pour…

— Assez vite, on s’est aperçus qu’aucune porte était fermée, qu’on pouvait aller partout, personne n’y prêtant attention. On a déniché un petit couloir désaffecté. Donnant sur une pièce contenant souffleries et conduits d’aération. Collée aux douches ! Les douches dégageant beaucoup de vapeur, on y trouvait une espèce de store métallique, muni de lamelles penchées.

— D’où vous pouviez voir les douches des filles.

— En fait… Il y avait qu’un seul grand vestiaire ! Seuls les horaires différaient. Lionel et moi,

surexcités par notre découverte… à un point !

On est restés peut-être un quart d’heure à observer en silence, fascinés.

— Observer quoi ?

— Les douches vides. Rien qu’à imaginer qu’on POURRAIT voir quelque chose.

— Et vous êtes revenus.

— On s’est faits un véritable emploi du temps. Fastoche, l’agenda de chaque classe était affiché à l’entrée ! Forcément avec nos horaires à nous on pouvait pas toujours être au rendez-vous. Mais on l’était le plus souvent possible, et oui on a pu observer. Dans l’obscurité on était totalement invisibles.

— De votre tranche d’âge jusqu’aux plus grandes ?

— Oui mais pas en entier. L’aération laissait voir le bas, jusqu’au début des poitrines. Les plus grandes c’était tintin pour les poitrines et vue que sur le bas. Mais c’était déjà tant !

— Et puis les visages vous intéressaient pas.

— En entier aurait été encore mieux. C’est tellement plus beau ! Puis aussi pour croiser telle fille et penser « Toi je t’ai vue à poil, de partout partout, quand tu te savonnais le trou et la chatte… ». Car en plus elles avaient

aucune pudibonderie, même quand fallait écarter

pour se laver l’intimité ou ouvrir la raie. Certaines insistaient beaucoup en ces endroits, pas de doute, sous prétexte de bien se nettoyer elles en profitaient, l’air de rien, pour se caresser un peu.

— La chatte, la raie, le trou… pffff…

— Oui j’avoue : Lionel et moi n’étions pas de grands poètes.

— On dit que dans le voyeurisme y a pas que le spectacle du corps. Y a aussi une perversité, l’idée de « voler » quelque chose.

— Oui : on aurait pu les observer librement le plaisir aurait été bien moins intense.

— Dan était pas censé vous chaperonner un peu ?

— Si, et il a senti qu’on vadrouillait sans lui exagérément. Que ça pouvait que cacher quelque chose ! Il savait pas quoi mais semblait de plus en plus intrigué. Nous n’avions pas le choix : il fallait le mettre dans la confidence. Alors… on l’a emmené.

— Et sa réaction ?

— Amusée. « C’est à ça que vous passer tout ce temps ? Mais c’est rien du tout les gars… Ces corps moi je les connais bien ! ». On l’a traité de frimeur. Et lui d’observer avec nous, faussement détaché, et de nous dire quel corps appartenait à quelle fille. Quand il nous a sorti que ce joli petit derrière était celui d’Annika, et que ce corps était le premier à sortir du champ de vision pour aller se rhabiller, on a couru à l’endroit où on pourrait la voir passer. Dans le mille. On était scotchés. Hallucinés ! Comment c’était possible ? Et Dan de laisser entendre qu’il avait déjà fait des choses avec elle. Avec elle et… avec d’autres. Carrément aussi les plus grandes, aux corps formés comme des adultes ou presque !

— Vous l’avez remis à l’épreuve ?

— Plusieurs fois. On mate un corps, il nous révèle le nom de sa propriétaire. On court, on voit qui passe dans le couloir. Dan faisait mouche à chaque fois. Ça a duré des jours.

— C’était un établissement de débauche en vrai ?

— Il semblait que seul lui avait eu tant de privilèges. T’imagines… notre imagination ! On a fantasmé sur des orgies, des plans avec lui face à cinq minettes, des partouzes, du sexe dans la nature…

— Est-ce qu’il se repérait pas aux voix ? Et profitait de votre naïveté ?

— Les minettes étaient crevées après le sport, nombre d’entre elles parlaient pas.

— Ou alors il se repérait aux jambes ? Avec un œil bien aiguisé, en ayant maté les copines en jupes courtes…

— Le collège interdisait jupes et robes. Tout le monde en pantalon ! Lionel et moi on aurait pu snober ses dires, par orgueil. Ça a été tout le contraire : on cachait pas notre admiration. Dan parvint à repérer jusqu’à huit ou neuf filles. Un tableau de chasse à couper le souffle ! Le plus fou, c’est que le copain faisait petit pour son âge. Il faisait pas partie des plus populaires, plutôt discret même, pas spécialement musclé ou à mâchoire carrée…

— Donc il avait une technique imparable.

— On avait du mal à percevoir laquelle. Séduire de telles bombes, qui en général ignorent ces garçons pour sortir avec les plus grands, les plus costauds ? D’après lui, c’est ce qu’elles faisaient pour les flirts.

Pour l’intimité elles préféraient des amis d’enfance,

discrets et secrets, tels que lui. Lui qui n’allait pas répéter, ne frimait pas… Enfin, sauf avec nous deux.

— En un sens ça pouvait se tenir. Mais sans rire, tout de même… y avait anguille sous roche non ?

— Et une grosse anguille. En attendant on s’en tenait à sa version. Sans même l’envier : on se sentait pas du tout à la hauteur ! Notre crainte était qu’il nous entraîne dans un de ses plans intimes. On voulait pas se ridiculiser…

— Et les douches collectives, c’était aussi pour les mecs ?

— Au début c’était bizarre. Là encore, tout le monde était indifférent. Pas un commentaire sur le physique de l’autre ! Lionel et moi, on était d’autant plus éberlués par les exploits de Dan que… Enfin, physiquement : maigrichon, presque pas de poils et… assez petite bite ! Si ça se trouve y avait un gros contraste entre repos et érection mais tout de même. Et Dan d’avoir toujours une explication : la taille était

ce qui effrayait nombre de filles, à la sexualité naissante,

préférant débuter par un membre plus modeste.

— Et vous avez fini par débusquer l’anguille ?

— On a commencé par la roche. Deux fois par semaine Dan rentrait tard, sans nous : il suivait un cours de sport « bonus », dans l’enceinte du collège. Sa mère nous apprit que c’était en fait un cours de danse classique. Dan en faisait depuis des années, sans trop le dire. On s’est renseignés… Le cours comptait presque aucun garçon. Genre, deux maxi pour une quinzaine de filles. Et Dan rentrait de ce cours tout propret. Changé, parfumé, coiffé. Tu commences à sentir la combine ? Fallait en avoir le cœur net. Alors, on est allés se planquer à notre cachette habituelle, après les cours. Le jour de la danse classique…

— Et vous aviez vu juste.


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