Atelier massage ! L’occasion de se rapprocher d’un garçon…
Extrait de ma saga littéraire « En attendant d’être grande », ou le journal intime d’une aventurière de sa naissance à son âge adulte…
Le lendemain, mon Estelle proposa un atelier massage. Elle ne s’attendait pas à un tel succès, on vint à plus d’une vingtaine d’enfants et adultes, tout âge confondu. Les petits ôtèrent tout, certains enfants de ma tranche d’âge également, d’autres tels que moi furent plus gênés. Cette fois Tom était présent dès le début, et accepta de faire équipe avec moi.
On retira tous au moins le haut et on suivit les indications en se massant tour à tour. C’était très technique, bien loin d’une vraie partie de caresses… et pourtant, avec ces mains passant et repassant sur l’épiderme, impossible de ne rien en ressentir.
Il fallait suivre des lignes avec précision, presser, appuyer, ne pas faire craquer l’épaule, dénouer les nœuds. Tom passa en premier, il endura en grimaçant, pourtant je faisais de mon mieux pour exécuter les gestes les plus doux et les plus tendres possibles. Dès qu’Estelle détournait le regard, j’en profitais pour ne plus suivre ses consignes et passer amoureusement mes mains partout sur son dos, voyant à chaque geste son visage se détendre et sourire. Oui, sourire ! Et pas un de ses petits sourires moqueurs, un vrai sourire de plénitude.
Lorsque ce fut mon tour de m’allonger, Tom se montra presque coquin.
Ses doigts dépassèrent un peu les frontières données par Estelle, me caressèrent sur les côtés, puis tout autour du cou, et touchèrent même cette culotte que je portais et que je n’avais osé enlever, très petite, qui laissait le haut de mes fesses à l’air libre. Tom lui aussi suivait à peine les consignes, et fut même reprit par Estelle. « C’est une fille fragile, faut pas que je lui fasse mal », dit-il sans se démonter.
Puis on tourna, je fus mise avec Stéphanie, Tom passa avec sa petite sœur Jeannette. Tom aimait bien Jeannette et Jeannette aimait bien Tom, ça je l’avais vu dès le début. Stoïque, je me concentrai sur les gestes en considérant le moins possible ces deux idiots, pour bien montrer que je n’en avais rien à carrer. Cette copine me faisait une concurrence déloyale. Mieux nourrie, mieux éduquée que moi, elle était fine et gracieuse sans le moindre effort à fournir.
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