Il faut satisfaire tous leurs désirs sexuels : c’est l’unique possibilité de Vera et Anastasia
Extrait de « Chair fraîche sous contrôle », une histoire à la fois extrêmement tendre et terriblement obscure…
Le visage de l’abuseur semblait également fasciné par la mécanique des filles… de cette mécanique faisant que même sous contrainte, même sur une jeune fille vivant sa première fois et même après un premier rapport, il suffisait de quelques exercices pour que le vagin redevienne espace d’accueil chaud et humide, dans lequel le pénis glissait aussi facilement qu’un doigt dans du sable fin. Il ouvrit la bouche, soufflant un « hhhhrr… » de veau agonisant, prenant cet air débile du parfait petit puceau qui expérimente sans en être plus mature.
Plutôt qu’une « montée-descente » classique et trop propre aux films X, je préférai donner un mouvement de balancier, plus doux et plaisant pour chacun. C’était un mouvement très subtil que trop peu de filles pratiquaient, et que bien des garçons ne connaissaient même pas… je l’avais souvent donné au grand bonheur de mes amants.
Le tout était d’y aller au ralenti et de ne pas faire entrer d’emblée le pénis trop loin, me contentant pour l’heure de le ressortir jusqu’à ce que le bout du gland se dessine, et de le rentrer sur environ trois centimètres. En outre, il fallait prendre garde au rythme tout en garantissant un mouvement tant en recul qu’en altitude, puis en avancée et en descente, donnant presque à Vera l’air d’une petite fille bercée par sa maman…
Tout ceci demandait une concentration et une attention de chaque instant. Ma tête était penchée sur le côté afin d’avoir une vue sur la pénétration et pouvoir tout contrôler, et je devais faire face en permanence à cette vision d’horreur, ce membre commettant un nouveau viol à chaque fois qu’il s’immisçait en elle, et ce par mes propres gestes. Car Vera ne bougeait pas davantage que Nicolas : elle me laissait entièrement la main. L’autre donnée insupportable était qu’en cherchant à apaiser ma sœur et lui fournir des sensations qui ne seraient en rien douloureuses, je ne pouvais que renforcer le contentement du garçon : il avait pris son pied et ce n’était pas fini, peut-être même n’était-ce rien comparé à ce qui l’attendait.
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