Être une meilleure baiseuse grâce à la boxe…

Une jeune fille nous conte sa passion pour la baise, et sa façon de s’améliorer…

L’époque ayant suivi celle de ma conception n’a pas été bien meilleure. Ce fut celle de la malbouffe et du porno. Qui dit malbouffe dit manque d’endurance, de souplesse et de vigueur : tout ce qu’il faut pour renoncer à une sexualité un tant soit peu pimentée.

Qui dit porno dit tringlage à souhait en mode boum-boum j’y vais à fond, parce que « plus mes couilles tapent contre ta raie meilleur c’est ». Ô seigneur, que les temps sont tristes ! Et le pire, c’est que moi qui fais la fière et ma râleuse, je n’ai pas été, pendant bien longtemps, plus performante que la plupart des garçons ayant eu la chance ou le malheur de me sauter. Tout du moins, c’était le cas jusqu’à l’année dernière.

Depuis, je progresse. Peu à peu, pas à pas. J’ai encore tout à apprendre, mais j’évolue. Entre la boxe et la baise, c’est la loi du yin yang. L’un m’améliore pour l’autre, l’autre pour l’un.

M’accoutumer à la ligne haute me permet de mieux écarter les cuisses, donc d’adopter de nouvelles postures. Coucher dans ces postures renforce mes jambes donc renforce mes coups. Faire des coups plus forts me donne une plus belle endurance au plumard. Et ainsi de suite. Le rythme est venu tout seul, et impossible de ne pas rester motivée de cette manière.

THE astuce sublime et suprême d’auto-motivation que tout un chacun devrait connaître et utiliser, et dont je n’ose pourtant pas beaucoup me vanter. D’ailleurs, peu de copines et de petits copains sont au courant. Lydie, elle, a fini par l’apprendre et en a beaucoup ri, même si j’y ai vu davantage d’admiration que de moquerie. Si sportivement je ne suis pas à son niveau, sexuellement je l’impressionne. D’ailleurs, si elle continua à me conseiller pour la boxe, elle se mit également à me demander conseils pour le cul.

Quant à mon petit secret, elle plaisantait assez souvent sur le sujet.

« Essaye de pas confondre ! Si tu te mets à sucer le prochain contre qui tu fais du sparing ou à boxer ton petit copain sous la couette, tu vas te gâcher la vie ! »

« Tu t’améliores en ligne haute… ce soir tu vas pouvoir tester une nouvelle position ! »

« Arrête d’esquiver autant, apprends à encaisser plus… d’ailleurs ça te servira aussi pour cette nuit… ».

J’en passe et des meilleures, et quelques pires. Néanmoins, Lydie restait parfaitement digne de confiance. Jamais ma confidence ne fut divulguée à qui que ce soit, et toutes ces vannes furent discrètement chuchotées à l’abri des oreilles indiscrètes. Je ne regrettais pas de le lui avoir dit, notre complicité s’en était renforcée. J’ignore pourquoi, depuis elle me mettait un peu sur un piédestal. Elle semblait s’être mise en tête que j’avais la réponse à tous ses questionnements sexuels, et que je saurais la coacher pour décupler ses orgasmes. Au début, j’étais si flattée que je jouais le jeu, quitte à lui donner des réponses dont je n’étais pas certaine.

Et quelle était la meilleure technique pour pomper en retardant l’éjaculation, et par quelle astuce repérer le moment où il allait venir afin de prendre sur le visage ou dans le mouchoir, et comment se préparer pour une sodomie, et quelle était la meilleure posture pour participer au mouvement, et que sais-je encore. Bien sûr, toute jeune fille a plus ou moins son idée sur ces interrogations… sans avoir la réponse absolue pour autant.

J’ai fini par lui dire que si j’en savais peut-être un peu plus qu’elle, elle restait plus douée pour la boxe que moi pour la baise, et que mes talents restaient somme toute limités. Qu’elle me questionne pourquoi pas, qu’elle ne me voit pas non plus comme une référence.

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