Deux copines d’été en plein émoi…

Sandrine a demandé un câlin très tactile à Chloé…

Extrait de ma saga littéraire « En attendant d’être grande », ou le journal intime d’une aventurière de sa naissance à son âge adulte…

Mon majeur effleura le bouton, le titilla, le chatouilla. Certains ronds furent presque imperceptibles, d’autres bien plus larges. J’appuyais tantôt à peine, tantôt davantage, tout en maniant les vitesses avec brio. Parfois je démarrais immédiatement en quatrième ou cinquième, et le corps de Sandrine se raidissait tandis qu’elle affichait un visage angélique. Parfois j’y allais par étapes, démarrant en première et passant sagement la seconde puis la troisième. Parfois encore j’étais en quatrième, puis revenais d’un coup en première.

Bref, je lui en faisais voir de toutes les couleurs. Son visage n’était pas toujours apaisé… Pupilles dans le vide, sans un regard à mon égard, à certains moments elle paraissait souffrir. Heureusement, chacune de ses attitudes me suppliait de continuer et ne manifestait que du bonheur, sans que je parvienne à détecter ce qu’elle appréciait le plus. Je n’avais pas un auditoire difficile : quel que soit le geste, Sandrine en était comblée.

Je poursuivis vers la fente, en restant toutefois en surface.

Celle-ci était chaude, humide. Les yeux de Sandrine s’écarquillèrent davantage, sa bouche s’ouvrit plus grand comme si elle voulait crier. Il me semble qu’elle aurait vraiment voulu, et faisait mille efforts pour s’en empêcher, se contrôler, quitte à se contorsionner sur elle-même. Son dos se relevait, s’aplatissait de nouveau contre la moquette, de même pour sa tête.

Vache, on risque de se faire mal à faire des gestes si saccadés. Ses jambes de même se tendaient et se dépliaient. C’était une petite danse immobile très curieuse, qui la rendait toute jolie et magnifiait son corps, surtout lorsque cette douce cambrure se dessinait ainsi sous elle, dessinant finement son derrière et mettant ses hanches en valeur. Les jeux de l’amour sont ainsi, plus ils sont doux d’un côté, plus ils sont violents de l’autre.

Appelant du renfort, mon majeur fut aidé par deux autres doigts, le tout allant et venant entre l’ouverture et le bouton, Sandrine bougeait tant que j’en avais du mal à faire tous les gestes que je voulais. Mes doigts étaient des guerriers de lumière, menant un combat pacifique dont la finalité ne devait être que le plaisir.

À force de caresses, j’avais étalé cette humidité partout.

Aux entrecuisses, au bouton : le bas-ventre de Sandrine n’était plus qu’un organe brillant. Mon majeur n’étant plus seul, je pouvais caresser la fente de l’index tout en m’occupant du bouton avec le pouce.

Quant aux lèvres du bas, tantôt je les frottais l’une contre l’autre, tantôt j’étais située entre les deux. C’est lors d’un de ces « entre les deux » que Sandrine s’accrocha à mon bras et ne le desserra plus, nouveau témoin de son bien-être. Voulait-elle me transmettre un message ? Sans doute, sa main faisant faire d’autres mouvements à mon bras dont elle ne semblait, pour la première fois, pas totalement satisfaite. Pourquoi ne parlait-elle pas ? Tant pis si la magie en était un tout petit peu brisée, si je continuais à faire des gestes moins plaisants, là elle finirait par se briser pour de bon.

Sandrine, dis-moi. Dis-moi ce qui te ferait plaisir…

Plus profond je t’en supplie. Entre. Va à l’intérieur.


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