Fin observateur – Adorateurs de filles nues… suite

Résumé de la première partie : Deux jeunes frangins sont en séjour linguistique chez Dan, leur correspondant, et ses parents. Etant momentanément scolarisés sur place avec Dan, les frères parviennent à dénicher un endroit où regarder les filles sous la douche, après leur sport. En ce pays, la douche collective scolaire est la tradition. Dan s’en mêle, et tout en gardant le secret, leur confie d’incroyables détails sur le corps de chaque fille. Aurait-il vraiment couché avec toutes celles dont il parle, comme il le prétend ? Les invités en sont persuadés. Jusqu’à la découverte du pot-aux-roses : en réalité, la présence de Dan est simplement autorisée pendant la douche. Suite du dialogue nous contant ce souvenir…

Faisant partie de « Dialogues Interdits », collection de petites histoires complètes uniquement constituées de dialogues…

— Fin du cours de danse,

les filles à la douche… en compagnie des deux garçons.

Et à propos de reconnaître les gens par leur bas, on a très clairement reconnu la bite de Dan. Furieux, on s’apprête à sortir du collège et… bim ! Un prof nous surprend. C’était terminé ! La mère de Dan était rentrée plus tôt du boulot. Ne nous voyant pas, elle avait appelé le collège. Un prof était parti à notre recherche…

— Il a dû avoir… une intuition ? Se disant que deux petits français ne pouvaient être que là ?

— Peut-être. Donc il nous chope, on sursaute, on se fige… Le gars nous emmène chez le directeur, il nous sermonne plus ou moins, ne sachant pas trop quoi faire, on comprend rien, enfin on saisit l’idée. Il appelle la mère. On nous libère, on rentre… très gênés. La mère encore plus que nous. Pouvant pas trop punir des enfants n’étant pas les siens ! Alors elle s’est contentée, hélas…

— D’appeler vos parents !

— Qui eux nous ont sacrément engueulés bien comme il faut. Enfin ! Ça nous a fait du bien je crois. Par contre, pauvre Dan… ça s’est retourné contre lui ! Ses parents et le directeur se sont persuadés que c’est lui qui nous avait montré l’endroit. On a quand même expliqué… Sans qu’on nous croie trop.

— Il a été puni ?

— Les parents se sont contentés de le disputer. Mais alors la punition populaire… Aïe aïe aïe ! Faut dire, Lionel et moi on a pas hyper bien tenu nos langues. On a pas révélé ce que Dan nous avait fait croire. Mais on a dit qu’

il reconnaissait les filles à leurs corps, sans voir les visages.

— Salauds !

— Aussi on était furax qu’il nous ait menés en bateau à ce point ! Des jours durant, chaque fois à rajouter toujours plus de détails pornos. Tous plus abracadabrants les uns que les autres, et plus il en rajoutait plus on le croyait. On était cons, oui ! Très très cons.

— Donc il s’était strictement rien passé avec ces filles ?

— Pas même un minuscule flirt. Dan les connaissait depuis tout petit. Avec une d’entre elles il avait l’habitude de jouer les week-ends, sur une plage naturiste située à une dizaine de bornes d’ici. Quand il a commencé la danse classique, la copine en question, la plus populaire du groupe, lui dit, à lui et l’autre garçon, qu’ils pouvaient bien venir avec elles aux douches sans avoir à attendre. C’était encore la petite primaire ! Et puis le temps a passé et l’habitude fut conservée. Sans vraiment le dire aux autres.

— Son apparence a aidé ?

— Dan a toujours fait plus jeune que son âge, certaines voyaient en lui un petit frère. En plus il était un peu la mascotte du groupe, était un peu précieux et maniéré…

— Une manigance, là encore ?

— Il surjouait un chouia je pense.

— Il trompait tout le monde alors ! Pas seulement vous ! …Et l’autre garçon au fait ?

— Encore moins de méfiance, lui c’était carrément une vraie folle.

— Dan louchait sur les corps, elles remarquaient rien ?

— Apparemment.

— Elles faisaient plutôt comme si de rien n’était, non ? Comme une sorte de petit jeu sexuel platonique.

— Hum ! Tu sais, les filles de la danse n’en voulaient pas tant à Dan de s’être planqué avec nous. Elles nous en voulaient même pas tant à nous ! Ce qui les mit hors d’elles, c’est cette capacité du copain à repérer l’identité de telle ou telle fille nue sans voir son visage. Les nanas savent mater sans qu’on le remarque. Elles ont appris à développer ça dans toutes les contrées, pour pas se faire traiter de salopes… Dan… savait le faire aussi.

— Personne était au courant, pour ces douches filles-garçons après le cours de danse ?

— Quelques garçons. Qui s’en fichaient. Cherche pas, là encore choc des cultures ! Plusieurs mecs croisaient des filles du collège à la plage nudiste… ou au sauna… Bref,

deux garçons avec les filles sous la douche, pas courant…

sans être une dinguerie non plus.

D’ailleurs notre cachette était facile à découvrir, à exploiter… et personne avant nous n’y avait songé ! Ah on donnait une bonne image du pays !

— Impensable chez nous cette liberté de corps. Par contre question fringues…

— Oui, c’est vrai là-bas y avait pas de petites jupes, ni de tops laissant voir les épaules et le nombril… A chaque peuple sa façon d’être pudique… et impudique. A chacun ses paradoxes ! En Afrique le torse nu est banal, mais la nudité totale très taboue.

— Et la suite de l’affaire ?

— La direction ferma le lieu à clé. Mais j’ai dans l’idée qu’elle aurait pu laisser tel quel sans que personne prenne notre place. On nous questionna pas beaucoup, on nous regarda un peu comme des extraterrestres. J’attendais un océan de vannes, rumeurs et polémiques ! En fait ça a surtout jeté le malaise. Deux crétins d’étrangers, à eux seuls, parviennent à faire planer une atmosphère lourde et pesante sur tout un établissement ! La honte…

— Vous en avez plus parlé avec Dan ?

— On en a discuté une seule vraie fois. Et puis… plus rien. J’ai eu un échange avec un gars de troisième, redoublant. Un des seuls à avoir déjà couché, et avec une fille du cours de danse. Il comprenait pas l’intérêt de voir une minette nue sans rien pouvoir faire. Pour lui, l’intérêt était de la déshabiller soi-même, la câliner et bien plus. Et il était sincère, pas provocant ! Sans vouloir me remettre à ma place il m’avait… totalement remis à ma place et pour les dix ans à venir.

— Vous avez dû vous tenir drôlement à carreau, Lionel et toi…

— Tu parles ! Gentils comme tout du lever au coucher, à débarrasser la table, à être hyper polis avec les profs… On comptait les jours ! On se serait barrés direct si on avait pu ! Pourtant on a évité le pire. Le collège entier aurait pu nous faire la guerre ! Si seulement Dan avait dit la vérité dès le début… Nous, ça suffisait ! On aurait déjà été largement épatés ! Savoir que lui seul et un autre garçon étaient discrètement autorisés à se doucher au milieu de tous ces canons !! Bien sûr que c’était épatant ! Bien sûr qu’on aurait été super impressionnés ! Au lieu de déçus.

— Dan s’en est tiré comment ?

— Je ne sais pas ! Il nous parlait plus. L’atmosphère était glaçante et glaciale. Après, il était aussi fautif que nous. On aurait pu se réconcilier dans un mea culpa général. On l’a pas fait.

— Fin de l’histoire ?

— Pour ainsi dire oui. Le jour est arrivé, on est partis. Plus jamais de nouvelles, la correspondance était terminée. Finie la belle amitié ! Dan nous en voulait pour de bonnes raisons, on lui en voulait pour… de bonnes raisons !

— Le retour s’est déroulé sans trop d’accrocs ?

— Maman nous a encore un peu engueulés, pour la circonstance. Papa s’est plutôt marré, limite s’il nous aurait pas fait un clin d’œil en nous tapotant l’épaule.

— Conclusion ?

— Ambiguë. Expérience aussi excitante que malaisante ! Dans nos têtes et pour longtemps, ce joyeux

festival de tétons, de raies, de mousse frottée sur la vulve

et le clitoris.

Pas non plus les pires souvenirs à rapporter d’un voyage ! Quelque part, ça m’a appris toute la force du fantasme. Observer était déjà énorme. Mais alors putain, observer en écoutant Dan et en le croyant ! Sans ces mensonges, jamais on aurait pris un tel pied…


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