Les secrets d’un corps dénudé…

Chloé et sa grande cousine s’observent, nues devant la glace…

Extrait de ma saga littéraire « En attendant d’être grande », ou le journal intime d’une aventurière de sa naissance à son âge adulte…

 

Le dos, les oreilles… je tombais de Charybde en Scylla. Pourquoi pas l’intestin grêle tant qu’on y était. Voyant mon air décidément perplexe, Estelle me donna quelques précisions tout en continuant à me dessiner de son majeur.

– Le corps humain est une merveille, Clo ! Son moindre centimètre carré renferme une vraie beauté. Tu dois apprendre à l’aimer. Surtout, tu dois apprendre à le voir dans son ensemble, en te regardant avec un œil plus avisé. Quand tu connais ta vraie beauté et que tu sais l’utiliser, tu construis ta légende. Idem quand tu connais ton esprit et que tu sais l’utiliser aussi. Quand tu sauras te voir vraiment, tu comprendras que n’importe quelle partie du corps forme un tout avec le reste, que tu ne peux rien détacher.

Sur le moment, j’enregistrai sans bien comprendre. Ces paroles allaient se graver en moi, et m’être fortement utiles par la suite.

– Bon, d’accord. Tu continues ?

– Là, on arrive au cul. Plus court que le dos, il en prend une courbure inverse et plus appuyée.

– Eh ben, c’est calé.

– À ton âge j’en avais pas un comme ça. Entre lui, tes jambes et ton dos, il y a une ligne ondulante terriblement sexy et à la fois discrète. Ça te donne aussi l’avantage d’être un peu moins remarquée par les idiots qui n’en ont qu’après les fesses super voyantes et les nibards démesurés, et ainsi attirer des garçons plus subtils.

Ton cul est d’une rondeur, waouh ! On a envie de croquer dedans. C’est plutôt moi qui devrais être jalouse.

Je pensais qu’elle se moquait, et croisai son regard à travers le miroir. Non, ces yeux, que je connaissais si bien, ne mentaient pas. Ses paroles firent rosir mes joues d’émotion.

– Là, les cuisses et les mollets. Les jambes de ta tranche d’âge sont souvent trop maigres. Les tiennes sont légères, toutes en finesse. T’as pas la peau sur les os, et pas le moindre embonpoint. Tout en bas il y a les pieds, et je sens que tu vas me refaire encore ton air étonné, mais oui, ça compte aussi les pieds. Bien proportionnés avec le reste, petits, légers, certains garçons se jetteraient à tes pieds pour en faire des objets d’adoration.

– Les pieds, des objets d’adoration ?

– Oui, il y a un côté ballerine, figurine, danseuse étoile. On a l’impression que tu pourrais presque t’envoler en te mettant sur les pointes. Celui qui observera jusqu’à tes orteils sera de l’ordre du super-gentleman.

– Et jusqu’à la plante ?

– Naturellement.

– Mais enfin, qu’est-ce qu’on peut bien faire, à la fin, avec des pieds.

– Oh, des tas de chouettes trucs.

On peut les embrasser, les caresser, les masser, les lécher, on peut même en sucer les doigts.

Tu peux rire, tu verras ! C’est totalement extatique.

– J’ai déjà un peu essayé toute seule, c’est pas si extatique que ça.

– Quand on te le fait et quand tu te le fais à toi-même, ça n’a rien à voir. Vraiment rien.

– Pareil pour les caresses alors ? Entre celles qu’un garçon me fera et celles que… je me fais moi-même ?

– Pareil, pour peu que tu sois avec un garçon qui sache y faire. Quels que soient tes plaisirs de masturbation, je t’assure que ce n’est rien comparé à ce qui t’attend avec un garçon.


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