Récit d’une jeune assoiffée de sexe

Avec la jolie Charlie, on sait rarement quand débute la baise, et encore moins quand ça s’arrête…

Le point de départ était le canapé. Vu le mouvement qu’il y eut ensuite, c’est ce que je me remémorai le lendemain afin de reconstituer la scène, tant c’était embrouillé. En cet instant « T » de l’histoire, donc, je me trouvais contre lui depuis environ trois secondes un quart.

Vers les trois secondes et demie, François se précipita vers ma poitrine de façon vorace mais galante, car il commença par me dévorer le cou. Il le fit en mode « je te possède », ouvrant bien grand et ne laissant aucun espace vierge, sans omettre quelques petits coups de dents. Je ne m’en défis pas, et au contraire en redemandai. On roula sur la moquette, envoyant au passage quelques coussins en l’air dont l’un fit tomber la bouteille… et l’on n’y prêta même pas attention.

Lui sur moi, puis moi sur lui ou côte à côte, on se donnait caresses et coups de langue partout où on le pouvait, défaisant, dézippant et déboutonnant au passage tout ce qu’il était possible de retirer. Nous voulions tout faire en même temps, ayant visiblement attendu trop longtemps ce jour l’un et l’autre, ce qui rendait nos actes très plaisants mais désordonnés et assez brouillons.

Bon gré mal gré, je finis tout de même par me retrouver en chaussettes et soutien-gorge, un bras encore dans le chemisier et jupe toujours présente, et lui pieds nus, t-shirt à moitié retiré et pantalon baissé. Son slip serré était difforme, je m’en approchai et le baissai aussi loin que je le pus. Là-dessus, sans même réfléchir, je pris son pénis et l’enfonça dans ma bouche le plus loin possible, sans approche ni demande de permission.

C’était bien la première fois… non pas que je suçais évidemment, mais que je m’y mettais de cette manière. Jusqu’alors, j’avais toujours joué à l’amante élégante et coquine. Regarder le sexe puis le regarder lui, embrasser le ventre, introduire la langue dans le nombril, lui sucer un doigt, puis bécoter lentement la verge avant de l’enfourner peu à peu. Là, ce fut tout le contraire.

Ce n’était plus une fellation, c’était du véritable pompage. On aurait presque dit que je le violais.

Fait incroyable dont je ne me rendis compte qu’après coup : j’exécutai ma première gorge profonde. Car si en un rien de temps la pipe le fit bander au maximum de son maximum, ce n’est pas pour autant que j’en libérai le moindre bout. François en avait une assez bonne et vigoureuse, au minimum un bon quinze-seize et plutôt épais, et tout entra et circula, quitte à chatouiller le tréfonds de ma gorge.

Comme quoi tout n’est pas tant question de technique que d’envie : soit animée d’un véritable désir dévorant et tu parviendras à faire ce dont tu rêves… François se contentait de « subir », souffler, gémir, vivre le moment présent, délivrant des sortes de « Hhhaaaarrrhh… » constants de cheval qui agonise. Il se laissait aller, ça sortait comme ça venait : ce n’était pas sa faute. Et j’agissais avec une telle fougue qu’entre deux hennissements il ne pouvait s’empêcher d’ajouter des « Salope…. Petite salope… ».

$Ce qui était de bonne guerre, et surtout en cet instant, parfaitement véridique. Il aurait même pu me traiter de sale petite putain que je ne lui en aurais pas voulu. En fait, que son comportement soit viril et assuré, peu sûr et maladroit ou même vulgaire et goujat avait bien peu d’importance. J’avais tant envie de lui qu’il pouvait bien avoir l’attitude qu’il voulait, tout était pardonné d’avance.

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