S’abandonner au plaisir

Sous l’autorité de deux prédateurs, deux soeurs doivent se donner. La grande soeur est contrainte d’apprendre à la cadette à laisser son corps et son sexe s’exprimer…

Extrait de « Chair fraîche sous contrôle », une histoire à la fois extrêmement tendre et terriblement obscure…

 

On aurait dit qu’il y avait deux personnes en elle. Une Vera jouisseuse et soumise, ne boudant pas son plaisir sexuel… et une Vera prude et pudique, tentant de se retenir au maximum. Cette Vera-là était en train de s’avouer vaincue, écrasée par le poids de son adversaire. Elle tentait encore quelques minuscules barouds d’honneur, étouffés sans délai par mes actes, mes paroles, les gestes de Vera, ses sons. Il semblait qu’elle essayait encore un peu, parfois, de retenir certains sons trop marqués ou trop expressifs… mais elle n’en était plus capable. J’étais parvenue à la mener à un tel relâchement et une telle excitation que son corps avait pris le dessus sur son esprit. Je m’en félicitais : tout ne pouvait plus se passer qu’au mieux, et elle n’aurait aucune blessure.

Ne détourne pas les yeux, tu peux regarder : tu contrôleras mieux ainsi.

Car oui, elle regardait de nouveau. Son propre corps, son bassin se mouvant, ses seins. Et puis aussi cette verge qui la visitait, et qu’en fait elle ne cessait plus de regarder. Les sons qu’elle poussait étaient devenus si naturels que ses lèvres ne se fermaient plus le moindre instant. Elle gardait simplement la bouche plus ouverte à certains moments et un peu moins, à peine moins à d’autres… dents et langue restaient apparents en permanence.

Ouvre-lui ton corps, totalement. Il veut juste te donner du plaisir. Reçois-le : montre-lui que tu ressens des choses, montre-lui que ses gestes te font de l’effet.

Je… je sais pas…

Tu en as envie, non ?

Oui j’en ai envie.

Alors fais-le.

Je ne veux pas faire ma salope.

C’est le seul moyen. Sois-le juste quelques instants, juste le temps de ce dernier rapport. Tu redeviendras normal après.

Cela eut pour effet de la décomplexer. Ne restant plus les bras ballants, Vera posa ses mains sur le torse de son violeur afin de prendre une part encore plus grande à la pénétration. Elle me guida également pour que, d’une main, je lui donne quelques caresses aux tétons, aux seins, au clitoris, ainsi que quelques baisers supplémentaires dans le cou. Son corps ondula, sa tête se renversant parfois en arrière, sa poitrine bougea, et les petites fesses se fendirent de nouveaux mouvements, sortes de tremblements et de petits sursauts.


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