Quand la nudité guérit le voyeurisme…

Une copine d’été raconte à Chloé une expérience très exhibitionniste…

Extrait de ma saga littéraire « En attendant d’être grande », ou le journal intime d’une aventurière de sa naissance à son âge adulte…

 

Si Sandrine avait vécu des expériences, il n’y avait jamais rien eu de sexuel de son côté. Ça me réconfortait : au moins sur un point, j’étais plus forte qu’elle. « On verra ça dans quelques années », dit-elle traditionnellement en conclusion d’un sujet chaud. Concernant ses théories sur la nudité par contre, elle a eu l’occasion de les tester sur ses deux cousins, Vincent et Paulo, qu’elle connaît depuis toute petite. Je me disais que ce serait chouette de te retranscrire aussi ce dialogue.

J’avais pas encore onze ans, et déjà toutes les formes qu’il faut. Enfin, quelques-unes quoi.

Je sais ce que tu vas me dire. Paulo et Vincent t’ont vue mille fois à poil quand vous étiez petits, et cette année ils sont devenus fous au moindre centimètre de peau découverte. Je connais la musique. Ils sont tous pareils.

Ils en disent autant de nos pommes, à ce qu’il paraît.

Je savais qu’ils étaient pas naturistes et je voulais pas les choquer, donc…

quand ils sont venus passer une semaine à la maison, j’ai pris un peu moins mes aises que d’habitude.

Ne me dis rien ! C’est justement ça qui les a surexcités. D’avoir une fille à espionner.

Chapeau. Tu les aurais vus ! Faut dire chez nous les portes sont anciennes, puis les serrures sont larges et ferment pas à clé. Tu mets ton œil, t’as plutôt une belle vue sur la pièce. Pour ma douche du soir comme celle du matin, ça a pas loupé une seule fois. Eux qu’avaient du mal à se lever au début, là ils étaient debout comme des petits soldats avant même le chant du coq ! Tinrin tsoin tsoin, on aurait presque cru entendre le clairon !

Rires.

Et pour la chambre ?

Ils dormaient dans le salon. Ma chambre leur était jamais fermée. Pour me changer je prenais pas non plus de précautions particulières, et ils arrêtaient pas d’y passer « par hasard ».

Ça t’a plu ?

Franchement, non. Ça t’aurait plu, toi ?

Je crus rougir.

Franchement, j’en sais rien. Je me demande… va savoir.

Moi, ça m’a rapidement agacée. Surtout qu’ils s’en lassaient pas ! Ça prenait des dimensions pas possibles. Alors un matin, j’ai posé deux tabourets dans la salle de bain, je les y ai installés, je me suis désapée devant eux et ai pris ma douche sous leur nez, en leur disant de mater autant qu’ils voulaient.

Non ? !

Si ! Et je t’assure qu’ils savaient plus où se mettre. Ils ont voulu partir, je leur ai dit de rester. Ils ont voulu me filer des fringues, j’ai refusé. Je leur ai dit « je reste comme ça jusqu’à ce que vous arrêtiez vos gamineries ».

Tu va me dire que t’es restée comme ça même après la douche ?

Toute la journée. Ils avaient besoin d’un remède de cheval. Cent fois ils m’ont demandé d’arrêter, cent fois j’ai répondu non. Alors ils ont bien dû se plier au jeu.

Est-ce que c’était un jour où tes parents étaient pas là ?

Clo, évidemment ! Ils étaient partis bosser tôt. Alors on a joué, on est allés au jardin, on s’est fait le repas, on s’est mis un film… Bref, journée normale entre cousins, comme si de rien n’était, et ils avaient pour consigne de fixer mon corps autant qu’ils voulaient. Je les avais jamais vus aussi rouges et aussi longtemps ! Finalement, ils se sont pas privés de me mater copieusement. C’était le but.

Tu t’es re-sapée quand ?

Heu, quand maman nous as vu…

Aïe.

J’aurais dû plus tôt ! Tout ça m’amusait tellement que j’ai pas vu l’heure passer.


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