Souvenirs de Chloé, adolescente, aimant les rapprochements corporels entre filles…
Extrait de ma saga littéraire « En attendant d’être grande », ou le journal intime d’une aventurière de sa naissance à son âge adulte…
Les filles sont curieuses de nature, et aiment les propositions. Parfois, cela va plus loin que la poésie.
Ça ne vient jamais de moi : je propose de le faire l’une à côté de l’autre, soit en se racontant des fantasmes, soit sans mot dire. Rien de plus. Il arrive alors que la copine en question, dans le feu de l’action, ressente le désir d’aller plus loin. « C’est normal, tu tentes le diable », me dira souvent Clarisse plus tard.
La comparse souhaite alors me caresser, que je la caresse, qu’on se le fasse l’une l’autre en même temps, ou bien qu’on se le fasse avec nos langues. Je n’en demande pas tant, m’exécute pour ne pas frustrer, et au final donne bien davantage de plaisir que je n’en prends.
Non pas qu’il soit fortement déplaisant de cajoler une fille… mais ça ne me passionne pas non plus, et surtout lors de ces petites escapades en duo, ce n’est pas mon objectif de départ. Le moment devient alors assez pédagogique, car en m’occupant de la copine je lui fais souvent découvrir de nouvelles zones érogènes, la doigte d’une façon qu’elle n’avait jamais tentée, lui apprends à mieux connaître son corps. On me dit souvent que je ferais une excellente « sexologue de terrain ».
Sur le coup, l’amie en est toute chamboulée, et quelques heures plus tard elle revient me voir pour me poser des questions techniques afin de se le refaire. Certaines ont ensuite tout le temps envie que je leur refasse des trucs, et je dois m’éloigner. Deux ou trois sont même plus ou moins tombées amoureuses. Il faut croire qu’effectivement, je tente le diable…
Là, je freine des quatre fers. Malgré toutes ces expériences, je ne me suis jamais considérée comme lesbienne, ni même bi. Caresser quelques filles m’a tout de même appris des techniques liées aux garçons : les caresses à l’anus.
À force, je me suis également mise à explorer cet endroit, pour varier un peu, et c’est en fait autant zone érogène chez elles que chez eux. Après, il faut trouver l’homme qui accepte de me laisser le titiller là. Ces messieurs craignent pour leur sacro-sainte virilité… puis quoi encore. C’est pas en te laissant faire que tu deviendras gay mon ami, t’en fais pas comme ça. Ah, comme tout serait plus simple si on se laissait un peu plus aller…
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