Une idée derrière la tête

Deux filles seules, une chambre et un désir…

Bon, ton père vient de claquer la porte, on est seules.

— …Et censées terminer l’exercice de maths, Maria.

Lætitia, on pourra le terminer demain matin, avant le cours. Tu sais bien que le vendredi la prof arrive toujours avec dix minutes de retard.

Tu veux qu’on se roule quelques patins ? D’accord…

Je parle de plus.

De plus, c’est-à-dire.

Je te parle de ça Lætitia.

Eh ! Tu te mets toute nue ici, dans ma chambre !? Pour quoi faire ?

En principe tu devrais en avoir une petite idée. Mais si je ne te plais pas ou que tu n’apprécies pas la proposition, je peux me rhabiller aussi vite.

Tu me plais beaucoup Maria. Ce n’est pas pour rien que j’adore te câliner et t’embrasser. Franchement, c’est presque encore mieux qu’avec un garçon ! Et d’ailleurs je ne dis pas, nue t’es encore plus jolie.

Tu ne veux pas m’imiter et faire aussi valser ta robe ?

Tu as… envie de moi ? Qu’on couche ensemble ?

J’ai envie d’un rapprochement plus tactile et plus mouillé.

Dis pas oui par politesse ou pour faire plaisir. Est-ce que t’as envie aussi, ou non ?

J’ai envie. Je sais pas de quoi, puisque je ne sais pas si deux filles peuvent faire l’amour au sens propre du terme… enfin, on peut voir ce qui est possible de faire. Mais pourquoi maintenant alors qu’on a si peu de temps ?

Parce qu’il est super rare qu’on soit toutes les deux dans une maison vide. Qui sait quand sera la prochaine. Oui on a que quelques minutes devant nous, raison de plus pour faire vite. Si ça te dérange pas, je te déshabille moi-même.

Ben, que je dise oui ou non t’es décidée à le faire apparemment. Et drôlement rapide. Ce serait pas plus prudent qu’on fasse quelque chose en gardant des fringues ? Tu m’enlèves tout alors que juste la culotte suffirait et…

T’as un corps si attirant, dès que je te vois avec des vêtements j’ai envie de te les retirer. Tous.

Tout le temps alors ?

Tout le temps.

Mmmm… tu me fais beaucoup d’honneur à te mettre à genoux comme ça devant moi… Tes baisers sont super doux. Tes mains aussi…Tu sais je… faut pas croire, je suis pas lesbienne.

Moi non plus, t’inquiète. Ce n’est qu’un peu de tendresse partagée. C’est notre avantage, nous les filles quand on fait du sexe entre nous c’est bien moins violent qu’entre garçons. Puis c’est qu’à partir du cinquantième cunni qu’on commence à changer de bord, pas avant. À propos, je peux descendre plus bas ?

J’osais pas te demander.

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