Une étudiante, fille de bourgeois, décide de passer la nuit en compagnie de deux sans abri… Perversion ou accès de tendresse ?
Extrait de « Abri d’urgence », une histoire de bourgeoise et de sans-abris…
L’intéressé était toujours en bonne forme, la taille de son sexe avait à peine diminué.
Ne sachant trop quelles étaient ses attentes, j’approchai de nouveau ma main afin de le caresser.
Je finis par lui dire timidement « Tu viens ? ». Il était déjà présent et ma question était maladroite, mais bien entendu il fallait entendre autrement la demande.
Il me comprit, et deux grosses mains puissantes m’installèrent sur le dos. Benny avait plus de force que je ne l’aurais cru… d’un simple petit geste, il pouvait me retourner d’un coup dans la posture qu’il souhaitait. D’un mouvement, il aurait pu me briser en mille morceaux s’il l’avait voulu.
Je me demandais à présent si mes désirs pervers n’allaient pas finalement se réaliser, et si c’était vraiment cela, au fond, que je voulais vraiment. Je n’en étais plus sûre, et ainsi sous son contrôle, j’avais désormais peur. Je fus vraiment rassurée par le retour de Jarod, qui je l’espère pourrait contrôler son ami si celui-ci devenait trop violent.
D’une main, Benny emprisonna les deux miennes et les plaqua contre le matelas, au-dessus de ma tête.
Puis, il posa ses doigts vers mon entrejambe et les passa sur mon clitoris, les lèvres de mon vagin, mon anus.
Au départ rapide, il se concentra ensuite sur certains mouvements, entrant son majeur en moi, me titillant l’anus, puis remontant vers le troisième point.
C’était pour moi un nouveau coup de théâtre : la bête dont je craignais l’arrivée devenait une main de fer dans un gant de velours ! À la fois plus dominatrice que son acolyte, et pourtant tellement plus délicate. Et ses caresses, bien qu’autoritaires, n’était pas blessantes, au contraire elles se mettaient à m’exciter de plus en plus. Mon intérieur, qui commençait tout juste à s’assécher un peu, redevint chaud comme la braise et humide comme une pluie d’été. Comment deux êtres si seuls pouvaient s’avérer si doués ?
Je me rappelai alors que leur passé avait certainement connu des périodes sans misère. La vie de Bohème de Jarod ne l’avait sans doute pas empêché de connaître au moins quelques copines, quant à Benny il avait été marié du temps où il travaillait.
Certes… Seulement, je ne comprenais pas comment la rue ne les avait pas rendu plus sauvages, barbares. Ils semblaient avoir conservé leur âme, avaient refusé de la vendre au diable. De toute façon, ces quelques réflexions furtives qui me venaient à l’esprit étaient de plus en plus effacées par mes sens qui s’éveillaient une nouvelle fois.
Me libérant les mains (pourtant, dieu sait si je brûlais, dorénavant, de rester sa prisonnière.
Que voulez-vous, les filles dans mon genre ne savent jamais ce qu’elles veulent), Benny se plaça entre mes jambes. Il se hissa en moi à son tour.
Son membre était chaud, peut-être plus encore que le mien, et contre toute attente il se mit à me pénétrer avec une certaine douceur. Les premiers instants, j’appréciai ses attentions sans ressentir vraiment grand-chose. Benny continuait, au même rythme, en variant tout juste quelques profondeurs. Concentré sur sa tâche, il ne prenait pas vraiment d’autres initiatives, se contentant de me caresser légèrement les seins.
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