Témoignage d’une nudiste assumée

Une copine de vacances conte à Chloé son éducation naturiste…

« Tes parents ont dû te trouver si jolie à ta naissance qu’ils ont préféré te laisser telle quelle sans te vêtir », lui dis-je pour lui faire plaisir tout en étant sincère. Sandrine semble très touchée, rougit. Il est rare que je fasse rougir une fille, quand ça arrive, j’adore, il n’y a rien de plus beau qu’une fille en cet état.

Je l’interroge sur tout : les membres durs des garçons, leur évolution physique d’année en année, à quoi ressemblent les câlins des couples, si les zizis flottent sous l’eau, s’il y a des lieux chauds… vraiment tout et n’importe quoi. Sur les lieux chauds, elle dit que c’est la question qu’on lui pose tout le temps. Une fois ou deux, sa famille s’y est égarée. Oui, l’éternel cap d’Agde. Le centre qui ruinera un jour l’image de cette culture, selon le papa de Sandrine. Là-bas, il y a deux parties.

Une familiale, et un centre libertin. La frontière n’est pas clairement définie. Pour peu qu’on ne fasse pas attention et que l’heure tourne, on se retrouve le soir au quartier olé-olé. Là, un soir seulement, Sandrine y vit tout ce qu’elle ne devait pas voir. Non, pas tout. Elle ne vit pas les couples s’attraper dans les buissons ou sur le sable (ça, elle en entendit seulement parler). Elle eut surtout affaire aux couples transformant le nu en abjection.

Piercings aux sexes, aux seins, rouge à lèvres noir, collier à clou, chaînette autour de la taille.

Une femme sans rien mais portant des talons hauts, un homme torse nu à cravate… Un festival de mauvais goût. Sur le coup ça la fit rire. En y resongeant elle en fut très troublée. Elle fit le rapprochement, certes un peu sévère, avec certaines filles de son centre nat’, toujours à bien se recoiffer, se mettre des boucles d’oreille ou des barrettes dans les cheveux.

Sandrine n’en démordait pas : il était anormal que dans un lieu naturiste on puisse trouver des obnubilés de l’apparence. Depuis, elle a prit le contrecoup. En centre, désormais, elle ne se soucie plus jamais de comment on la voit. Cheveux en bataille, peau qui pèle, toute nue à pas d’heure quand les autres sont rhabillés, elle s’en fout. Ou au contraire, prend un malin plaisir à jouer avec cela.


Pour découvrir dès à présent les cinq parties des aventures troublantes de Chloé…

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