Deux soeurs, deux frères, un chantage…
Extrait de « Chair fraîche sous contrôle », une histoire à la fois extrêmement tendre et terriblement obscure…
Les visites de ses doigts reprirent. Comment auparavant, ils sortaient aussi vite qu’ils entraient, son manque de self-control ne lui permettant pas de faire quoi que ce soit en douceur. Ce faisant, sa main libre se saisit de mon majeur, et le posa sur mon clitoris. Son expérience était peut-être plus grande que je ne l’avais cru, car il fit poser mon doigt exactement à l’endroit opportun, là où tant d’autres hommes cherchent souvent en vain.
Comprenant son idée, je me mis à me caresser ce bouton sacré, tout d’abord de façon classique, puis au même rythme que ses intrusions, le vieux me faisant comprendre que c’est ce qu’il souhaitait, soit donc du frénétique au très rapide, plus rarement en mouvements lents.
Dans mon malheur, je bénissais les dieux que ce territoire reste intact de ses propres assauts, et priais pour que cela demeure ainsi. La moindre parcelle de peau sauvegardée serait une victoire.
Étant une fille très clitoridienne, cette réappropriation de cette infime partie de mon corps me permit d’être moins tendue.
Lorsque je le pouvais, je jetais un œil vers Vera, toujours terrée dans le coin de la pièce, le corps paraissant enfoncé dans le mur comme pour chercher à s’éloigner encore plus de la scène. J’aurais tant voulu qu’ils lui disent de partir. Mais le jeune avait écarté cette possibilité avant même que je n’ai eu le temps de l’émettre.
Il se plaça sur le côté et passa son phallus sur mon cou et mon visage. Ces passages-là se firent fréquents, et il était clair que la douceur de mes joues n’y était pour rien. Sachant ce que cela demandait de ma part, je me résolus à ouvrir mon orifice buccal et y reçus ce que chaque passage me délivra, donnant des lèvres et de la langue. Le vieux en poussait des bruits rauques de joie brutale.
Surtout, je tentais d’ajouter sur son pénis le maximum de salive, sachant que ça me faciliterait la tâche pour ce qui suivrait certainement. Car qui dit pas de préservatif dit risque de rapport trop sec. Au moins, en cette position, Vera ne pouvait voir que le dos du vieux, et pas tous ces actes innommables que je devais faire avec ma bouche.
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