Boxeuse sexuelle…

Charlie est une boxeuse amatrice adorant le sexe. Sa copine lui demande souvent conseil… au point que Charlie en est prise au dépourvu

– Pitié Lydie ! Je ne m’en sors plus. J’en suis à te faire attendre jusqu’au lendemain pour aller fouiner des éléments sur le net. Ce qui est pas honnête, et en plus tu peux le faire toi-même.

– Non… Et tu l’as souvent fait ?

– D’abord pas du tout et ensuite de plus en plus, au fur et à mesure que tes questions devenaient scabreuses.

– Je me rends pas compte…

– Elles sont bien plus compliquées qu’au début. – Possible ! Parler de cul avec toi m’a donné envie de nouvelles expériences, je crois. Mon mec t’en est très reconnaissant.

– Heureuses que nos discussions soient utiles.

– Elles le sont beaucoup !

– À condition que tu ne me vois pas comme une sexologue diplômée avec vingt ans de métier. Tu sais, ça fait tout juste quelques mois que je pratique la sodomie. J’avale rarement, je teste de nouvelles positions prudemment, au compte-goutte, et je n’ai même encore jamais essayé le sexe à trois ou quatre. Alors du calme, quoi ! Si ça se trouve, c’est toi qui me dépasseras. – Pendant que tu me rattraperas à la boxe ?

– Là par contre ça m’étonnerait.

J’avais beau faire ma modeste, j’étais une baiseuse bien plus douée qu’auparavant. Le souci est que je commençais à manquer de matière première. Bien sûr, côté chair fraîche, une jeune fille n’a que l’embarras du choix. Mais quantité n’est pas qualité, et voilà que j’avais du mal à trouver des mecs qui soient au niveau. Ils étaient tous un bon cran en dessous du mien. Et si ce peut être amusant lors d’un sparing, pour le coït c’est beaucoup moins fun !

Dans mon carnet d’adresses, au-delà des simples amis auxquels je m’en serais voulu de toucher, j’avais une bonne dizaine de partenaires. Et plus aucun qui ne convenait, alors qu’ils m’avaient jusqu’alors plutôt contentée.

Deux ou trois potes de baise, un amant sulfureux, un garçon amoureux de moi dont je n’étais pas amoureuse…

un autre dont j’étais amoureuse mais qui lui n’était pas amoureux, et trois ou quatre occasionnels.

En essayer d’autres ? Je n’étais pas très sorties, en ce moment. Et l’idée de rentrer dans de nouveaux jeux de séduction me lassait (aller en soirée / laisser traîner son regard / se laisser accoster / boire un verre, et tatati et tatata…). Les sites de rencontres ne me tentaient pas plus. J’en étais à regretter d’avoir fait le ménage à ce point dans mes contacts, en virant tous ces garçons qui m’avaient dragué et n’espéraient que je les rappelle. Sans grande fierté, il m’arrivait d’être entreprenante lorsque l’un ou l’autre tentait le coup en me rappelant… Cela se solda par quelques soirées ni bien déplaisantes, ni bien orgasmiques.

Parmi mes petits copains plus réguliers, trois furent charmés par mes nouvelles envies : deux d’entre eux, malgré toute leur bonne volonté, ne parvinrent pas à suivre. Ils tenaient la posture trop peu de temps, jouissaient trop vite, y allaient pas assez vivement… Un festival de « trop » et de « pas assez », et bien peu de juste mesure. Les quelques postures où la femme mène la danse fonctionnaient mieux, forcément, seulement j’exigeais un retour qu’on ne me donnait pas. Le troisième y parvint un peu mieux, et voulut me prouver sa valeur en acceptant de tester TOUTES les postures de mes rêves… Charmante attention.

Seulement, comme il n’était pas bien fort ni souple, cela faillit s’achever en accident. VLAN ! Mon corps sur une chaise, le sien sur le tapis, on s’est étalés tous les deux par terre. À peu de choses près je me pétais une jambe et lui un bras. Si je ne lui en voulais pas, lui n’a plus trop cherché à me revoir. La honte, peut-être… Bref, je savais de moins en moins quoi faire.

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