Au-delà de la soumission sexuelle…

Victime d’un chantage sexuel, deux soeurs viennent de subit les pires sévices. Mais tout est-il totalement terminé ?

Extrait de « Chair fraîche sous contrôle », une histoire à la fois extrêmement tendre et terriblement obscure…

Rhabillées, l’aîné nous donna enfin l’autorisation de partir. Le petit frère n’osa dire un mot, toujours vidé. Il était difficile de dire s’il éprouvait du remord, s’il ne savait que penser ou si rien ne passait dans son esprit. Néanmoins il paraissait mal à l’aise, et s’était rhabillé également, aussi vite qu’il avait pu. Son regard ne quittait pas Vera, qui elle maintenant l’évitait au possible.

Il eut l’air de beaucoup regretter de la voir partir. De toute façon, il n’y eut évidemment aucun adieux et le départ fut très rapide. Je ramassai mon sac, pris Vera par la main et nous quittâmes l’appartement au pas de course, sans un mot. Le dossier était resté à la même place, je l’emportai comme convenu.

Nous descendîmes l’escalier de l’immeuble. Deux ou trois portes s’entrouvrirent, des regards inquisiteurs nous scrutèrent. Une voisine furieuse. Puis deux petits garçons hilares. Et enfin un adolescent bouche bée.

Tous avaient entendu Vera gémir et crier, laquelle, en état second, marchait tel un automate, sans les remarquer.

Se demandaient-ils qui était la responsable des sons ?

Je ne crois pas. Ils le savaient. La voix de ma petite sœur était bien trop juvénile pour que ce puisse être la mienne : celle-ci avait à peine mué, ressemblant presque à une voix d’enfant, en tout cas de toute jeune adolescente. Tout dans l’apparence de ma petite sœur montrait qu’elle venait de vivre une baise longue et intense : joues rouges, sueur, cheveux décoiffés… Qui plus est, des cuisses au visage, elle sentait le sperme. Nul doute que bien des hommes du bâtiment y repenseraient ce soir, et bien des nuits encore.

Nul doute que ceux qui n’avaient pas osé entrouvrir leur porte avaient observé le passage de ma petite sœur par le judas, puis s’étaient précipités à la fenêtre pour l’espionner encore derrière leur rideau, une fois que nous serions dans la rue. Les regards désapprobateurs m’étaient destinés : j’étais la grande sœur détraquée qui amenait sa petite frangine au cœur de parties de débauche. Ils ne pouvaient pas comprendre… Je m’en fichais. Le flic et son frère, bien entendu, n’auraient pas pareil traitement.

Eux seraient considérés par les voisins avec admiration. Ainsi est fait le monde… Je voyais d’ici tout ce que ce petit porc raconterait à ses copains de collège. De quelle façon il avait été sucé par deux belles jeunes filles. Qu’il avait fait jouir la plus petite par deux fois. Tout cela était si rocambolesque qu’il n’était même pas certain qu’il se risquerait à révéler ce moment, tant il était peu probable qui que ce soit n’en croit un mot.


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