Sous les griffes des prédateurs

contrainte-fille

Deux sœurs face à un maître-chanteur. Chantage jusqu’au bout, maître en tous les sens du terme. Ce n’est pas un jeu… Vera et Anastasia n’ont pas le choix. Un policier, les tenant sous son égide, a « offert » Vera à son petit frère. Ce dernier reçoit son tout premier plaisir de bouche de la part de Vera, qui n’avait jamais connu de garçon jusque-là. Anastasia est à ses côtés et l’aide…

D’un regard, nous nous comprîmes. Elle avait raison, là était le seul moyen. Comme je ne me décidais pas, un peu interdite, Vera prit ma main et la posa sur ses cheveux. Ne pouvant plus faire autrement, je les empoignai le plus délicatement qu’il m’était possible de le faire, et plaçai mon autre main sur son épaule, comme pour symboliser mon soutien. Malgré cette posture des plus humiliantes, je sentais que Vera était rassurée et confiante que je l’assiste.

Je fis glisser le phallus de Nicolas entre les lèvres de ma sœur, qui les posa sur les parois. Ma main lui fit faire le mouvement de la tête, d’abord basiquement d’avant en arrière pour l’habituer à plus de profondeur, puis en faisant des variations, faisant exécuter les allées et venues en faisant tourner le sexe dans sa bouche, puis lui faisant faire des mouvements de gauche à droite : il fallait y venir millimètre par millimètre, presque sans qu’elle s’en aperçoive… Il fallait aussi refaire bander quelque peu l’adolescent, qui, fatigué, avait depuis peu le sexe trop mou pour pouvoir s’aventurer dans cet autre trou par-delà la bouche. Il ne fallait pas, toutefois, l’ériger au maximum. L’opération s’avérait angoissante… il me fallait jouer serré.

Je lui susurrai à l’oreille de poser ses mains de part et d’autre des hanches du garçon : c’était mieux pour la stabilisation du mouvement. La pénétration atteignait enfin les tréfonds de la bouche. Elle semblait s’y faire. Enfin, nous étions en mode « gorge profonde », et j’ignore si Vera en avait conscience. Son partenaire était de plus en plus fébrile, tremblant. Ma main libre effleura les testicules pour essayer de voir où il en était. Elles étaient grosses, signe qu’il n’avait pas éjaculé depuis un moment et que sa dernière masturbation devait dater d’au moins une semaine. Elles étaient mouvantes, ce qui attestait de la semence montant en lui, et chaque nouveau coup de bouche de ma petite sœur approchait davantage le liquide de la sortie.

C’était le moment où jamais d’agir. Ma sœur fut toute surprise que je la retire aussi rapidement : d’un geste, je pris le sexe en bouche et partit sur un mouvement profond, façon film X, en l’accompagnant largement de la main. J’ignorais si c’était ou non une désobéissance de ma part, mais ne pouvais le laisser jusqu’au bout avec ma sœur. Le petit frère resta sous mon contrôle buccal quelques instants, ne sachant comment réagir, puis sa main vint me bloquer et il se retira de lui-même. Pas de doute, quelques secondes de plus et il venait.

Seulement, il en avait décidé autrement et avait saisi mon stratagème. Son engin se planta devant ma sœur. Un instant passa ainsi, qui me parut une éternité. Il y avait quelque chose d’éminemment diabolique à voir ce visage d’ange, si emprunt de pureté, face à cette verge vicieuse et démoniaque. Le désir du garçon était clair comme de l’eau de roche, pourtant il n’osait rien faire. Il esquissa un geste, trop court pour qu’on le comprenne, en toute logique celui de la prendre par les cheveux, se ravisa. On entendit un petit « T’, t’, t’… » de réprobation de l’aîné, qui n’était rien d’autre qu’un ultimatum pour que son frangin cesse. Les deux frères se regardèrent, Nicolas se retira.

– Faut que tu profites davantage de l’occasion que tu as, Nico. Vera, à toi de jouer. Toi toute seule, sans les mains de mon frère, ni celles de ta sœur, ni ses paroles. Montre-nous ce que ton apprentissage a donné.

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