Coït sous contrainte

Anastasia découvre, contre sa volonté, les affres de la soumission…

Il me fit m’allonger sur le ventre. Je sentis des mains bien moins rudes que celles de son aîné, tant dans le mouvement que le toucher. Il m’explora ainsi sur toute ma longueur, en un mélange de finesse et de dureté.

Finesse, car il pratiquait l’art du massage et savait y faire. Un massage impudique qui ne laissait aucun endroit vierge, mais qu’il savait parfaitement offrir. Le comportement de ses mains et de ses lèvres étaient bien entendu totalement indécentes. Il me malaxait les seins, les caressait, passait sa langue sur les tétons, me mettait des doigts dans l’anus, sur le clitoris, m’embrassait le cou, les lèvres. Dès que le geste se faisait tendre, il devenait cru l’instant d’après, et vice versa. C’était à coup sûr sa manière à lui de débuter vraiment sa possession, sorte de rituel macabre, attitude frôlant la schizophrénie d’un Docteur Jekyll et Mister Hyde.

Je songeais que de nombreux préliminaires allaient encore m’être imposés, et que le jeune en était au commencement de ces petits sévices qui l’amusaient tant. Mais on aurait dit que tout en lui avait décidé d’agir de manière à me surprendre. Effectivement, alors que je m’attendais à tout sauf à cela, il souleva mon bassin de ses mains puissantes et me pénétra.

Pénétrée pour la seconde fois. Sans même que je ne saisisse comment, il avait immédiatement adopté la position adéquate et avait éloigné mes jambes l’une de l’autre… à moins que je ne l’ai fait de moi-même par réflexe… Et avant même que je m’en aperçoive réellement, son bout de chair surexcité avait commencé à explorer mon vagin.


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