Vera, docile et soumise malgré elle

Vera, la soeur d’Anastasia, apprend le sexe dans une atmosphère de domination…

Il y avait désormais des automatismes en elle. Il suffisait que la verge ou les testicules s’approchent pour qu’elle ouvre la bouche. Le garçon avançant son bassin, ma petite sœur refermait alors ses lèvres, et suçait. Une couille, un gland, un bout de queue, un doigt, elle suçait ce qu’il y avait un sucer, elle suçait ce qui passait, mécaniquement, comme si elle le faisait sous hypnose, sans même s’en rendre compte. Comme si sa bouche n’était faite que pour ça, qu’elle n’était rien d’autre qu’un objet sexuel, qu’une machine à faire du cul. Vera tenait le rôle de ces parfaites petites pompeuses et baiseuses faciles et dociles comme on en rencontre parfois. De celles qui ouvrent la bouche ou écartent les cuisses dès qu’un membre s’approche du visage ou du bassin.

Au-delà des frottements, le garçon se servit de sa main pour se masturber en plusieurs endroits.

Devant son visage évidemment, en lui ordonnant d’entrouvrir les lèvres, contre ses joues, entre ses fesses. Elle eut aussi droit à l’inévitable « branlette espagnole » consistant à la masturbation du pénis entre les deux seins. Ils étaient tout juste assez gros pour cela. Je crois qu’il manqua d’éjaculer à cette occasion, car il finit par s’éloigner de la poitrine pour s’égarer devant son visage… Bien que la vision du visage de ma petite sœur inondé de cette affreuse substance blanche m’était fort pénible, j’en étais à espérer que cela s’achève ainsi.

Qu’on en finisse le plus vite possible. Mais rien ne sortit du gland du garçon, qui en parut déçu, ou peut-être honteux. Comme pour faire diversion, il la plaça en différentes postures. Sur le ventre, sur le dos, à genoux, sur le côté, assise, jambes écartées, jambes refermées, profitant à fond de son esclave sexuelle. Il introduisit ensuite le majeur en son vagin, sans violence aucune. Il testa en surface, à un ou deux centimètres, à quatre ou cinq, le plus profond possible…

Heureusement, je lui avais montré comment faire et il ne chercha pas à brusquer. Le fait est que le doigt s’enfonçait de plus en plus facilement… et en ressortait de plus en plus humide. Il put même aller jusqu’à entrer deux doigt à la fois. Vera acceptait, se détendait, respirant calmement. Avantage : lorsqu’il se déciderait pour un nouveau coït, cela se passerait sans doute bien. Car les rapports sexuels n’étaient pas achevés, j’en étais convaincue.


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