Soumise et dominée malgré elle

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Que faire lorsque deux flics savent tout de votre identité réelle, et vous menacent de vous dénoncer si vous n’achetez pas leur silence ? Peut-être bien… se soumettre, tout simplement.

Il commença à se dévêtir et s’arrêta à mi-chemin, se contentant d’avoir ouvert sa chemise et baissé son pantalon. J’aimais autant : le contact du tissu était toujours préférable à celui de sa peau. Il paraissait d’ailleurs prendre un malin plaisir à me considérer nue tandis que lui restait habillé, sorte de domination s’ajoutant à la domination. Il reprit le même jeu… Je savais que les règles avaient changé, et que je devais à présent participer tout autant que lui. Une injonction de sa part vint me le rappeler : je ne me souviens plus bien les mots exacts, mais le sens était parfaitement clair. Les caresses reprirent, et je dus me résoudre à y joindre les miennes.

Mes mains passèrent sur son visage, son dos, son torse… toute l’étendue de sa peau était dure et vieillie. Ses doigts devenaient plus audacieux, et s’aventuraient de plus en plus près de mon anus et de mon vagin. Ce fut ce dernier qu’il entreprit d’explorer, et ce fait marqua le tout début des pénétrations. Avec frénésie, il faisait entrer son majeur, parfois accompagné de son index, voire du début d’un troisième doigt, agréablement surpris de constater que mon sexe avait des parois facilement élastiques.

– Alors toi ma petite, ça se sent que tu t’en es pris pas mal de grosses…

Ce n’était pas tant la phrase dégradante qui m’avait dégoûtée, mais le fait qu’il avait approché sa bouche tout près de mon oreille pour me la murmurer.

À force de frottements, caresses et intrusions forcées, face à un corps d’une fraîcheur qu’il ne devait plus avoir vu depuis des décennies, le vieux semblait avoir recouvert une seconde jeunesse. Alors que je l’avais d’abord senti fatigué, il paraissait à présent reprendre un peu plus de vigueur à chaque instant. Sa main partit vers mes cheveux, qu’il empoigna pour me relever la tête : il avait fait cela pour que mes yeux soient devant son pénis. Évidemment en érection, il avait l’air fier de ses attributs. Pourtant, rien ne le justifiait. Ses testicules fripés pendaient mollement, son gland sorti et rouge à la limite du violacé, et la verge dressée avait quelque chose de tordu. Après me l’avoir fait scruter un petit moment en m’assurant que mes yeux ne s’en détachaient pas, le vieux reposa ma tête sur le lit.


Pour vous plonger totalement dans cet univers troublant dont vous venez de lire un extrait…

Deux sœurs en péril sur Google Play / Kobobooks

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