En adoration devant la nudité

Sandrine explique à Chloé pourquoi elle adore le nudisme…

Extrait de ma saga littéraire « En attendant d’être grande », ou le journal intime d’une aventurière de sa naissance à son âge adulte…

 

Les confidences de Sandrine nous ont comme rapprochées, et elle se sent de mieux en mieux avec moi. Elle m’a raconté tant d’histoires, je dois tout de même lui donner au moins un petit retour. Cet après-midi, nous prenons notre bain traditionnel de soleil, sur la plage. Ne sachant trop quoi avouer, je lui confie mon plaisir à me faire voir, même de loin, en tenue de peau. Même si ce n’est sans doute pas un scoop, elle paraît ravie de me l’entendre dire.

Ici ça s’impose plus ou moins, j’imagine… Une plage où on peut tricher un peu, ça donne envie de jouer avec ça. Je suis pas la dernière non plus. Est-ce que tu fais tout ça juste pour te faire voir ?

Je le fais d’abord pour moi.

Mon premier bonheur, c’est celui d’être caressée par le soleil. (Je crois voir Sandrine frémir à ces mots).

Au tout début, je me rendais même pas compte quand j’étais nue. Ensuite, je me suis mise à adorer ça, juste pour le bien-être. Maintenant, c’est un mélange entre confort personnel et plaisir d’être convoitée. Le truc c’est qu’ici il y a moins de concurrence que dans un centre nat’.

Qu’est-ce que tu veux dire ?

Je suis sûre que dans tes centres y’a un tas de jolies filles plus grandes que toi. Du coup y’a pas toujours des regards pour toi, et même certains garçons de ton âge matent que les plus grandes. Non ?

Bravo. C’est vrai que des fois je suis un peu jalouse.

Tu devrais pas ! T’es super jolie.

Arrête… (Elle rougit !)

C’est moi qui devrais l’être ! Regarde ici, ceux qui matent le font plus en direction de toi que de moi.

C’est pas vrai.

Ici on est les reines. Dans un centre nat’ on serait perdues au milieu de mille splendeurs.

Oh, y’a aussi un paquet de boudins !

Tu vas dans les grands centres. Sur le tas, y’a forcément une concurrence déloyale. Ici, on a notre cour de courtisans.

Si deux superbes jeunes filles de vingt ans s’installaient dans la même tenue, tu verrais les têtes tourner !

Les hommes sont cruels… dès qu’ils trouvent mieux, ils t’oublient.

Cette discussion n’avait rien eu d’exceptionnel. Comparée aux autres, c’était à la limite de l’anodin. Pourtant, elle sembla marquer Sandrine. Peut-être parce que c’était la première vraie confidence intime que je lui faisais ? Les deux jours qui suivent, ma copine se montre de plus en plus tactile. Même ses petites provocations à la plage changent… je commence à comprendre qu’elle ne cherche pas tant à titiller la gent masculine que ma propre personne. Elle se met à vouloir des chatouilles, me tient parfois la main quand on marche dans la rue, veut qu’on s’échange nos fringues… ça ne me gêne pas. Mais où veut-elle en venir ?


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