Cellule conjugale

Comment gérer sa sexualité quand son conjoint est derrière les barreaux…

Quand j’ai su qu’il prendrait du ferme, je n’ai pas eu peur de son absence… Deux mois, on pouvait les tenir. Surmonter l’épreuve…

C’est que tu dois l’aimer alors !

J’ai aussi eu confiance envers le pénitencier. Je me suis renseignée, le directeur était classé parmi les progressistes. Il autorise souvent des cellules conjugales.

C’est quoi ?

Une petite pièce à l’écart où le mec peut être avec sa nana pendant quelques heures. S’il y a bon comportement du détenu, on peut lui autoriser un certain nombre d’heures par mois. Jusqu’à quatre. Et tu peux diviser comme tu l’entends.

Par exemple seize petits coups lapin-lapine de quinze minutes chaque ?

Ou bien deux gros et longs coups de deux heures.

Et la plupart des détenus ont quel rythme ?

Ceux qui baisent vite demandent toujours au moins une demi-heure Trop la honte pour eux de demander moins, après ils se font vanner par les potes. En taule, faut surtout pas perdre la face.

Tant mieux ! Ils tirent leur gonzesse vite fait et les vingt-huit minutes restantes ils peuvent développer un peu plus l’affection et la discussion. Et sinon, coucher de façon chronométrée dans une cellule fermée, c’est angoissant ou excitant ?

Plutôt excitant. De toute façon faut se faire une raison. Ce qui me gêne surtout, c’est son infidélité.

Je pensais que la taule était justement l’endroit par excellence à risque d’infidélité zéro.

Je le soupçonne de me tromper avec des hommes. Qu’il vienne pas se plaindre après.

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