Soumission féminine

Anastasia et Vera sont contraintes de donner du plaisir au frère d’un policier…

Après avoir mis mes cheveux bien en arrière, j’avançai ma tête et, tout en saisissant la base de sa verge d’une main, j’ouvris la bouche et y enfonçai le gland. Mes lèvres se refermèrent dessus, et j’entendis Nicolas pousser un profond soupir. Sans doute n’imaginait-il pas jusqu’alors les sensations qu’un tel acte pouvait donner. Vera avait toujours les yeux baissés, et j’étais décidée à user de tous mes atouts afin de faire venir Nicolas maintenant, d’un coup, et que ce soit enfin terminé. Qu’il prenne son pied un bon coup puisqu’il aimait ça, qu’il vienne où bon lui semblerait, et que l’on puisse enfin partir.

Ma tête recula donc légèrement en arrière afin d’éloigner le gland, mes lèvres y restant collées, puis posées dessus comme pour y déposer un baiser. Je revins ainsi, repartis, revins… Nicolas restait là à me mater, bouche ouverte. Ma main suivit le mouvement et j’enchaînai sur plusieurs techniques que je savais faire pour donner du bonheur à mes différents partenaires. Je sentais le petit frère sous mon pouvoir, et qu’en peu de temps je parviendrai à en venir à bout.

J’étais soulagée que la partie sexe passe à moi et que Vera soit dégagée de Nicolas, en espérant avoir une chance pour que cela demeure ainsi, que Nicolas s’accapare de ma personne et ne touche plus ma petite sœur. Cela tenait pourtant encore davantage du sacrifice qu’entre les bras du vieux ou du jeune flic. Agiter dans ma bouche un sexe aussi juvénile me donnait l’impression d’être une pédophile. Comme si je faisais cela à un enfant… ce n’était d’ailleurs pas loin d’être cela. Le jeune me fit comprendre qu’il n’était pas question que je termine avec son frère.

Eh, Vera. Tu cherches à voir quoi dans les pieds de mon frère ? Relève la tête et tourne-là, ta sœur est en train de te montrer ses astuces. Allez allez, je veux que ça s’alterne, je veux du rythme !

Elle avait sursauté à son nom, espérant qu’on l’avait oubliée. Lentement, elle se tourna vers moi et m’examina. Je m’étais arrêtée. Le partenaire, qui était devenu le nôtre à elle et moi, n’était plus capable ni d’un mot ni d’un geste, pas plus que ma sœur. Il fallait que je parvienne à agir. Rassemblant tout mon courage, j’entrepris alors le terrible apprentissage qu’il m’était imposé de donner. Un apprentissage qui exigeait que je prenne tout en main. Afin de bien s’en assurer, le grand vint me chuchoter à l’oreille :

Je veux que tu mettes tout en place pour que ça se fasse de façon parfaite. Dans le cas contraire, je dis à mon frangin de passer des coups de fil, et d’ici ce soir ta petite sœur aura dépucelé toute sa classe et aura quinze goûts différents de bites dans la bouche. Alors je veux que tu lui apprennes tout, j’ai bien dit tout : qu’elle soit capable de faire elle-même tout ce que tu sais faire toi.


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