Ultime épreuve torride

Deux soeurs sous l’autorité de deux hommes. La grande est là pour aider sa cadette à son initiation sexuelle…

Je jetai un œil à l’entrejambe du garçon. Sa tige fatiguée était fanée, presque rabougrie comme après un passage à la mer, et je me demandais comment nous allions procéder. Quoi qu’il en soit, il fallait avancer coûte que coûte, aussi pris-je ma sœur par la main pour l’installer sur le garçon allongé, elle à genoux, chaque mollet posé de part et d’autre de lui, fesses posées sur les hauts de cuisses du prédateur. Rien que cela suffit à Nicolas pour lui redonner envie de sexe. C’était facile à voir : dès qu’il avait envie, ses yeux ternes s’ouvraient grands et se mettaient à pétiller. Une position que je connaissais bien, et que j’aimais pratiquer avec mes petits copains. Mais là, la tâche me semblait insurmontable. Parvenir à remettre le garçon en état, et surtout faire jouir ma petite sœur… l’aîné m’avait sous-estimé, j’avais l’impression que tout était perdu. Mais tel qu’à chaque fois que j’avais failli baisser les bras, Vera intervint.

Vera. Il faut pas qu’on ait fait tout ça pour rien. On est si près du but ! Il faut que tu trouves une solution. Je suis prête. Et je suis prête à tout pour que ça marche.

Elle comptait sur moi, et n’y arriverait pas sans mon aide. Plus de choix possible : je devais la conduire au bout de la soumission.

M’agenouillant également, derrière elle, mes mains rassurantes se posèrent sur ses épaules.

D’abord, relaxe-toi. Le dos, tout le corps. Ne reste pas raidie comme ça. Tu te souviens des cours de danse ? La prof te disait pareil : imagine que c’est pour un cours. Ensuite, ferme les yeux et respire bien calmement.

Elle suivit mes indications. Dans le même temps, je lui retirai son chouchou et lui défis les cheveux. Sa belle chevelure était un atout, il ne fallait pas s’en priver : nous avions besoin du plus « d’armes » possibles pour remporter la partie. Cela la rendait encore plus sexy, et exciterait davantage son abuseur. Plus j’en donnerais au garçon, plus de chances il y aurait pour qu’il s’enflamme. Autrement dit qu’il ait une seconde éjaculation au plus vite, après quoi je le savais bien, il ne pourrait vraiment, vraiment plus rien faire. Rien d’autre que s’affaler et se remettre de tout cela pendant plusieurs heures, et l’aîné serait alors bien forcé de nous laisser partir.


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