Laisser venir le troublant plaisir…

Vera doit vivre sa première fois : ce n’est pas un choix mais une obligation. Sa grande soeur est présente pour l’aider…

Sans la brusquer, je l’invitai à m’écouter en orientant légèrement sa tête. Vera laissa alors son regard dans le sien. Comme renforcé par cet échange, le garçon s’aventura un peu plus loin. Ma petite sœur commençait à avoir du mal à bien respirer. De nouveau nerveuse, elle ne parvenait pas à tout gérer. Je lui glissai à l’oreille de ne pas chercher à contrôler sa respiration, lui indiquant de la caler naturellement sur la pénétration qu’elle subissait. Elle hésitait, comme si elle cherchait une échappatoire. Il n’y avait aucune échappatoire.

Faut que tu saisisses où il veut en venir. Non, ne détache pas ton regard de lui… oui, comme ça. Il veut pas te baiser. Il veut faire l’amour avec toi. Fais-moi confiance, je connais les garçons, je sais ce que veut celui-là. Plus tu vas entrer dans ce jeu, plus la pénétration se passera bien. Je sais ce qui est bon pour toi.

Vera accepta enfin. À chaque fois que Nicolas entrait en elle, elle se mit à souffler, laissant autant l’air s’échapper par la bouche que les narines. Bien sûr, cela s’entendit : les sons de son souffle emplirent la pièce et rendirent l’atmosphère, il faut bien le reconnaître, nettement érotique. Bien sûr, cela vint renforcer encore l’assurance du garçon, qui ne la quittait plus du regard. Il ralentissait, écoutait le souffle de Vera ralentir en conséquence, puis accélérait pour l’entendre le suivre.

Son érection semblait grandir encore, et je sentais que même s’il ne s’aventurait pas bien loin, elle en devenait plus pénible pour Vera.

Souffle plus fort, tu évacueras. Et bouge, accompagne-le dans le mouvement. Bouge les hanches, comme ça… je vais t’aider.

Elle était toujours très gênée par la présence du flic qui n’en pouvait plus de se régaler du spectacle.

Ne regarde pas en direction du grand. Il n’est pas là, il n’existe pas. Imagine qu’il n’y a que toi et un amant, et que tu es pleinement consentante. Fais cet effort mental.

Mes mains se posèrent sur ses épaules, et je lui fis faire des mouvements du corps, afin qu’elle soit parfaitement en phase avec le garçon. Quant à ses propres initiatives, elle se mit d’abord à remuer des hanches timidement, presqu’imperceptiblement.

Puis, voyant que cela rendait la pénétration plus aisée, remua davantage, toute rouge de honte mais de plus en plus domptée par son partenaire. Pas domptée dans le sens où elle ne faisait que se laisser faire, non, puisqu’elle avait, sur mes recommandations, sa propre part active. Domptée dans le sens où elle acceptait de plus en plus l’acte sexuel. Son corps était moins raide, ses membres moins figés. Par toutes petites touches, Vera se détendait. Je lui dis alors de faire comme les mouvements gracieux qu’elle avait appris à la danse : qu’elle fasse onduler son corps. Que ce serait la meilleure façon de gérer le coït.


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