Accepter le plaisir et le désir, quel qu’il soit…

Même si elles doivent vivre du sexe sous contrainte, Anastasia tient à ce que sa petite soeur se laisse aller. Le plaisir est la seule issue pour s’extirper de cette situation…

Chaque réaction de Vera fut observée, décortiquée. Sa façon de souffler, de gémir. Les soubresauts agitant son corps. Sa façon de basculer la tête en arrière, de plisser les yeux, d’ouvrir la bouche plus grand. Le garçon ne tarda pas à déterminer que ma petite sœur était particulièrement sensible lorsque…

Le sexe restait bien au fond et que son bassin remuait de gauche à droite…

Ses seins étaient empoignés à pleines mains, en toute délicatesse…

ses tétons étaient titillés du bout des majeurs, et du bout de la langue…

son clitoris était caressé en même temps que son vagin pénétré…

la pénétration se donnait par petits coups rapides sur la longueur du gland…

Le pénis ressortait lentement, entièrement, pour rentrer au même rythme…

Son visage était léché…

Et quantité d’autres petits détails mettant ma sœur sens dessus dessous. Nicolas était en train de décoder littéralement ma sœur. On aurait dit qu’en un clin d’œil, il était passé de gamin à mature. Tout du moins, une maturité sexuelle. Autre détail qui me surprit beaucoup : il ne faiblissait pas.

Sa verge restait longue, droite, dressée, fière et dure comme du roc. Aucun état de semi-érection, pas la moindre mollesse en cette tige gluante. Le garçon cherchait à en profiter à fond, au maximum, quand bien même s’épuisait-il et mettrait-il des jours à s’en remettre physiquement. Et pour lui donner tous ces plaisirs avec la bouche et les mains, il se contorsionnait à s’en fracasser le dos. Pourquoi se serait-il privé… il était conscient que c’était sans doute l’unique fois de sa vie où il pourrait être le maître absolu d’une fille. Même une prostituée rémunérée à prix d’or a ses conditions.

On s’en doutera, l’effet fut au rendez-vous, Vera lâcha différents sons, et notamment une série de « Han ! Han ! Han ! Han! » lorsqu’il y allait par petits coups rapides. Profitant du fait qu’elle ne retenait plus rien en elle, il se mit à revenir en prenant tout son temps, faisant de petites pauses. Le pénis s’enfonçait lentement, jusqu’au bout, Vera poussait une sorte de longue plainte sur toute la durée. Il prenait cinq secondes pour s’enfoncer entièrement en elle, la plainte féminine durait cinq secondes. Il en prenait vingt, cela durait vingt.


Pour lire la suite… « Deux sœurs en péril » sur Google Play / Kobobooks

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